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Vénéré

  • Adjectif masculin singulier
  • Verbe au participe passé masculin singulier

Définition

  1. relatif à un respect profond

Forme dérivée du verbe « vénérer »

"vénéré" dans l'encyclopédie

  • THOR ou DONAR

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 2 469 mots
    • 1 média

    Dieu atmosphérique, maître de la foudre, dieu guerrier, vigoureux adversaire des géants, le Thor scandinave était vénéré surtout par la population rurale, par ces paysans libres qui, formant la suite des rois, prirent le goût des aventures prometteuses de butin ; aussi retrouve-t-on généralement le culte de Thor sur le chemin des incursions des Vikings.

  • ÉDÉSIUS saint (IVe s.)

    • Écrit par Jacques DUBOIS
    • 379 mots

    Compagnon de voyage puis de captivité de saint Frumentius, premier évêque d'Éthiopie, Édésius n'a pas été vénéré comme saint alors que Frumentius devint un saint très populaire. Quand Frumentius alla rendre visite à saint Athanase, patriarche d'Alexandrie, Édésius rentra dans sa ville de Tyr et c'est là qu'il raconta leur aventure à Rufin, qui est le seul à l'avoir transmise.

  • OSWALD saint (605 env.-642) roi de Northumbrie (635-642)

    • Écrit par Jacques DUBOIS
    • 531 mots

    Mort pour son pays et pour sa foi, le roi Oswald devint un saint très vénéré dans les îles Britanniques, ainsi qu'aux Pays-Bas, en Allemagne et en Suisse.

  • IMHOTEP (2800 av. J.-C. env.)

    • Écrit par Jean LECLANT
    • 718 mots
    • 2 médias

    Maître des scribes et sage par excellence, considéré dès le Nouvel Empire comme fils du dieu memphite Ptah, il fut à la Basse Époque vénéré comme dieu guérisseur. Sa chapelle de Saqqarah, lieu de pèlerinage important, devint un asklépiéion (les Grecs l'appelaient Imouthès). À partir du règne de Ptolémée I, son culte gagna la Haute Égypte et son image figure dans plusieurs temples gréco-romains.

  • SMṚTI, hindouisme

    • Écrit par Jean VARENNE
    • 2 107 mots

    Que ces textes soient tenus pour sacrés (bien que non révélés), on le voit au fait qu'ils sont tous rédigés en sanskrit (la « langue des dieux », daivī vāk) et qu'un poème aussi vénéré que la Bhagavad-Gîtâ en fait partie intégrante. Mais, justement, l'une des caractéristiques de l'hindouisme « classique » (c'est-à-dire postvédique, donc postérieur au ~ vie s.

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