Véronaise

"véronaise" dans l'encyclopédie

• VÉRONÈSE (1528-1588)

  • Écrit par Terisio PIGNATTI
  • 11 855 mots
  • 5 médias

  Avide de connaître toutes les tendances qui vont de la tradition héritée de Mantegna à la génération véronaise du début du xvie siècle, déjà représentée de diverses manières à Venise, il fréquente Gianfrancesco Caroto et Torbido, qui travaillent dans le style de Giorgione, Antonio Badile, coloriste classique mais original et Domenico Brusasorzi, compositeur fantasque ; il s'intéresse également aux suggestions « froides » des maîtres de Brescia, de Romanino à Savoldo et à Moretto, dont il voit des peintures dans les églises de la ville.

• CATULLE (82-52 av. J.-C.)

  • Écrit par Jean GRANAROLO
  • 13 761 mots

  Cadre historique et littéraire Les recherches les plus récentes amènent à diviser comme suit la ciographie de Catulle : 82-66, enfance et adolescence à Vérone et dans la région ; 65-61, première période romaine ; 60-59, seconde période véronaise ; 58-57, une année et quelques mois à Rome ; printemps 57 à printemps 56 : séjour en Bithynie avec Memmius ; 56-52, fin d'existence à Vérone, Sirmio, Rome, la Sabine.

• CARPACCIO VITTORE (1460 env.-1526)

  • Écrit par Marie-Geneviève de LA COSTE-MESSELIÈRE
  • 15 282 mots
  • 7 médias

  Plutôt qu'un bourreau implacable, « n'est-ce pas, comme l'a écrit d'Annunzio, Éros déguisé et sans ailes, qui demain déposera son arc pour s'abandonner à l'enchantement de la musique et faire un rêve d'une volupté infinie ? » La peinture véronaise C'est sans doute peu de temps après avoir achevé le cycle de sainte Ursule que Carpaccio peignit, d'après Boccace, L'Ambassade des amazones près de Thésée.