Vacillant
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe présent
Définition
- qui vacille
- incertain, irrésolu
Forme dérivée du verbe « vaciller »
"vacillant" dans l'encyclopédie
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OZICK CYNTHIA (1928- )
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 498 mots
Citons également l’essai Quarrel and Quandary (2000) et le roman Heir to the Glimmering World (2004, Un monde vacillant), qui raconte la vie quotidienne d'une famille installée dans le Bronx après avoir fui Berlin et le nazisme. Le thème du déracinement et de la non-appartenance revient fortement dans Foreign Bodies (2010, Corps étrangers).
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MAZOWIECKI TADEUSZ (1927-2013)
- Écrit par Jean-Yves POTEL
- 5 072 mots
- 1 média
L’unité de l’opposition face au pouvoir vacillant du général Wojciech Jaruzelski permet, alors que le mécontentement social grandit, d’imposer une « table ronde » en février 1989. Mazowiecki y siège au côté de Lech Wałeşa. Des élections libres deviennent possibles ; elles ont lieu en juin. Le chef de gouvernement nommé en août 1989 s’attaque donc à la grande transformation avec une conviction profonde.
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SUN YAT-SEN (1866-1925)
- Écrit par Marie-Claire BERGERE
- 12 915 mots
- 2 médias
Sun n'a pas réussi à ancrer dans la réalité le mythe vacillant d'une république dont il a emprunté le modèle à l'Occident. Mais les principes dont s'inspire alors son action se sont assez largement imposés aux esprits pour écarter toute éventualité de restauration impériale, pour faire coïncider la chute de la dynastie avec celle d'un régime millénaire.
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HOFMANNSTHAL HUGO VON (1874-1929)
- Écrit par Jacques LE RIDER
- 15 607 mots
- 2 médias
Walter Benjamin, prié par Hofmannsthal de donner son avis sur le manuscrit en 1925, s'en acquittera en 1926 et en 1928 en écrivant deux comptes rendus où les éloges l'emportent sur les réserves, même si, dans ses notes non publiées, Benjamin exprimait des doutes fondamentaux sur cette œuvre dont Hofmannsthal n'a pas donné moins de trois versions successives, comme s'il devait sans relâche consolider un édifice vacillant.
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COLERIDGE SAMUEL TAYLOR (1772-1834)
- Écrit par Paul ROZENBERG
- 15 657 mots
- 1 média
À travers une abrupte succession de cadres et d'épisodes infernaux vacillant aux limites d'un univers de la cruauté où l'intensité des sensations et des forces élémentaires préfigure l'expressionnisme, l'imagination s'oriente, comme fera plus tard la littérature du rêve, vers la résurrection rituelle des visions d'enfer. Christabel (long fragment, rédigé en 1798, publié en 1817, mais que Coleridge travaille encore en 1834) reprend les thèmes de l'hospitalité dangereuse et sainte, de la laideur et de la contagion du mal ou de la haine dans une atmosphère moins sublime, empruntée elle aussi aux ballades médiévales.