Variabilité
- Nom féminin singulier
Définition
- caractère de ce qui est variable
- disposition habituelle à varier
"variabilité" dans l'encyclopédie
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PSYCHOLOGIE DIFFÉRENTIELLE
- Écrit par Michel HUTEAU
- 25 726 mots
La psychologie différentielle est une branche de la psychologie qui se propose de décrire et d’expliquer, au moyen de méthodes objectives, les différences psychologiques entre individus (variabilité interindividuelle) et entre groupes d'individus relativement homogènes (variabilité intergroupes). À l'heure actuelle, l'étude du degré d'hétérogénéité des performances d'un même individu relève également de l'approche différentielle (variabilité intra-individuelle).
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HYDROMINÉRAL ÉQUILIBRE
- Écrit par Alain REINBERG
- 16 115 mots
- 5 médias
Variabilité de la constitution hydro-électrolytique des liquides extra- et intracellulaires La plupart des valeurs qui figurent dans les tableaux, aussi bien que dans les tables de « constantes biologiques » ne sont que des approximations. Elles donnent une idée de la répartition des ions, idée qui doit être complétée par celle de la variabilité relative des L.
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DÉVELOPPEMENT, psychologie interculturelle
- Écrit par Henri LEHALLE
- 13 053 mots
Snarey soulignent la similarité transculturelle du développement moral, car la variabilité intraculturelle des jugements moraux l’emporte largement sur la variabilité interculturelle. Il faut rappeler aussi que la relation qui s’établit entre un psychologue, qui interroge, et une personne (enfant ou adulte) qui répond aux questions posées, est toujours une relation sociale.
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LANGAGE ACQUISITION DU
- Écrit par Michèle KAIL
- 27 222 mots
- 3 médias
On constate alors une importante variabilité de rythme (le nombre de mots produits par les enfants à un même âge). Peu importante jusqu’à douze mois, cette variabilité devient ensuite notable, et c’est ainsi qu’à vingt-quatre mois, âge auquel la production moyenne est de 300 mots, les 10 p. 100 d’enfants les plus productifs en produisent plus de 500 et les 10 p.
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CHORORAPITHECUS
- Écrit par Brigitte SENUT
- 3 323 mots
On ne peut donc pas tester la variabilité de l'espèce et on ne connaît pas ses dents inférieures. Les restes d'animaux fossiles suggèrent que l'environnement de Chororapithecus aurait été plutôt humide, riche en primates, pauvre en hipparions (ancêtres de chevaux), par ailleurs les hippopotames, les cochons et les girafes sont assez communs. La nature des sédiments indique un bord de lac boisé, alternant avec des milieux plus ouverts.