Veld

"veld" dans l'encyclopédie

• VAN DE VELDE LES

  • Écrit par Jacques FOUCART
  • 6 539 mots

  Dynastie de peintres hollandais. Né à Amsterdam, Esaias van de Velde (env. 1590-1630) était probablement le fils du peintre Anthony van de Velde et le cousin de Jan van de Velde le graveur. Dès 1610, on le trouve à Haarlem où il entre dans la gilde en 1612. En 1618, il est inscrit comme membre à la gilde de La Haye où il a été honoré des commandes des stadhouders Maurice et Frédéric-Henri.

• VAN DE VELDE HENRY (1863-1957)

  • Écrit par Simon TEXIER et Encyclopædia Universalis
  • 8 773 mots
  • 1 média

  L'importance et la diversité de son œuvre construite, comme le nombre et la portée de ses écrits, placent Henry Van de Velde parmi les pères fondateurs du Mouvement moderne. Designer, relieur, architecte, il transmet également par l'enseignement son savoir et le résultat de sa quête de la beauté à travers l'élaboration d'un art total. Les principes en sont une conception rationnelle, sans ornement superflu, appliquée à la totalité de l'environnement, des plans des constructions jusqu'au moindre objet usuel.

• VAN VELDE BRAM (1895-1981)

  • Écrit par Maxime PRODROMIDÈS
  • 5 802 mots

  Le 19 octobre 1895 naissait à Zoeterwoude (Pays-Bas), le plus fragile et le plus secret des peintres non figuratifs, celui dont l'éthique de vie, l'esthétique indomptable, marqua de son empreinte la seconde génération des abstraits après 1945 (De Kooning, Alechinsky, Messagier). Le chemin fut pourtant long jusqu'à cette consécration. Bram Van Velde a pour ainsi dire toujours connu la misère.

• BOERS

  • Écrit par Alfred FIERRO
  • 2 961 mots
  • 3 médias

  Les immigrants arrivent dans une région, le haut Veld, ravagée et dépeuplée par les guerres du Zoulou Chaka. Les Boers trouvent dans les populations survivantes des alliés potentiels contre les Zoulous. Avec l'appui des Griqua, une troupe de Boers défait, en janvier 1837, les belliqueux Ndebele et leur chef Mzilikazi. Ce dernier se retire au-delà du Limpopo, abandonnant aux Blancs le pays situé entre le Vaal et le Limpopo, le futur Transvaal.

• ESWATINI, anc. SWAZILAND

  • Écrit par Dominique DARBON, Benoît DUPIN et Encyclopædia Universalis
  • 16 348 mots
  • 4 médias

  Quatre bandes verticales naturelles identifient les capacités agricoles du pays, en allant de l'ouest vers l'est : une région de schistes, dont les sommets culminent à 1 800 mètres, et appelée Haut Veld (Highveld), dernière partie du pays à avoir été colonisée par l'homme ; une zone de granite, le Moyen Veld (Middleveld), considéré par les Swazi comme le cœur du pays et la région la plus peuplée, d'une altitude moyenne de 800 mètres et favorable à l'élevage ; un plateau ondulant autour de 250 à 300 mètres d'altitude au centre-est, dénommé Bas Veld (Lowveld), couvert de savane et de bois, où se pratiquent l'élevage, les cultures d'irrigation d'exportation ainsi que l'exploitation forestière ; et enfin, plus à l'est, le plateau du Lubombo, profondément entaillé par les gorges des trois principales rivières traversant le pays d'ouest en est, qui sépare l’Eswatini du Mozambique.