Verdienne
- Adjectif féminin singulier
Définition
- relative au compositeur Giuseppe Verdi, à son oeuvre musicale
"verdienne" dans l'encyclopédie
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MARTINELLI GIOVANNI (1885-1969)
- Écrit par Jean CABOURG
- 1 096 mots
Véritable épée de lumière, cette voix concentrée « dans le masque », dont la scansion confère éclat et pertinence à la phrase verdienne, aura montré, d'Ernani à Otello, du Bal masqué et de Simon Boccanegra à La Force du destin, une fermeté de trait et une pureté de ligne immédiatement reconnaissables. Lyrique, héroïque, dramatique, le ténor italien Giovanni Martinelli (né à Montagnana, dans la province de Padoue, le 22 octobre 1885) fera figure d'héritier de Caruso en dépit d'une technique de chant et d'un timbre en tous points différents.
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LA TRAVIATA (G. Verdi)
- Écrit par Christian MERLIN
- 1 444 mots
- 1 média
Commencée avec Rigoletto, en 1851, cette évolution verdienne ne se démentira plus.
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CAP-VERT (CABO VERDE)
- Écrit par René PELISSIER et Encyclopædia Universalis
- 22 027 mots
- 3 médias
L'importance de la diaspora cap-verdienne ne saurait être sous-estimée puisqu'elle représente pour l'économie du pays un atout maître : ses envois de devises représentent 10 p. 100 du P.I.B., venant immédiatement après l'aide internationale pour équilibrer la balance des paiements. L'identité cap-verdienne Malgré les disparités et les rivalités entre les dix îles, il est indéniable qu'une identité cap-verdienne existe.
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MÖDL MARTHA (1912-2001)
- Écrit par Pierre BRETON
- 5 304 mots
Bien que son répertoire soit centré sur Beethoven et Wagner, elle sait cependant s'offrir quelques échappées musicales – dont une mémorable Carmen à Londres en 1949 – et se révélera une verdienne accomplie. Le festival de Salzbourg découvre la splendide straussienne dans Klytämnestra d'Elektra que dirige en 1964 Karajan et qui rassemble autour d'elle Astrid Varnay (Elektra), Eberhard Wächter (Orest) et James King (Aegisth).
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VERRETT SHIRLEY (1931-2010)
- Écrit par Jean CABOURG et Encyclopædia Universalis
- 5 815 mots
- 1 média
Si la voix de la voix de mezzo-soprano constitue l'un des éléments les plus caractéristiques des opéras de Verdi, Shirley Verrett, par sa diversité et la richesse de sa palette expressive, est assurément la chanteuse verdienne des temps modernes. Dans les personnages d'Ulrica (Un ballo in maschera), d'Azucena (Il trovatore), d'Amneris (Aïda) ou bien encore d'Eboli (Don Carlo), qu'elle campe avec aplomb, sa projection vocale et sa présence propres à enflammer le théâtre le démontrent éloquemment.