Verse
- Nom féminin singulier
- Verbe à l'indicatif présent 1e personne du singulier
Définition
- fait d'être couchées à terre, pour des tiges
- locution adverbiale, "à verse ": abondamment, (il pleut à verse )
Forme dérivée du verbe « verser »
"verse" dans l'encyclopédie
-
MONROE HARRIET (1860-1936)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 4 119 mots
En 1917, elle participe à l'élaboration d'un ouvrage qui fera autorité dans le domaine de la poésie du xxe siècle : The New Poetry : An Anthology of Twentieth-Century Verse in English (réédité en 1923 et en 1932).
-
ROSALIE, musique
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 604 mots
Dans la rosalie, la marche d'harmonie se prolonge au-delà des limites que le bon goût tolère, ou bien elle est beaucoup trop régulière et verse dans le poncif des exercices scolaires. Rosalie est pris péjorativement surtout quand la marche harmonique entraîne une modification de la tonalité (séquence harmonique). Quand la répétition conserve la tonalité (séquence tonale), elle est un moyen de progression musicalement justifié.
-
RENTE
- Écrit par Georges BLUMBERG
- 710 mots
Couramment, le mot s'emploie pour désigner : les intérêts de certains emprunts d'État, généralement à très long terme (la rente Pinay par exemple) ; le revenu versé, sa vie durant, à une personne (crédirentier) par une autre (débirentier) à laquelle la première a cédé un capital (il s'agit alors d'une rente viagère). Les rentes étant en principe des revenus fixes, et leurs bénéficiaires étant souvent des personnes âgées qui n'ont guère d'autres ressources, leur dépréciation, qui accompagne celle de la monnaie, pose un problème social qu'on s'efforce de résoudre par des mesures de réajustement.
-
ANTHEM, musique
- Écrit par Edith WEBER
- 3 219 mots
Ces deux genres, full anthem et verse anthem, sont cultivés par Pelham Humphrey (1647-1674), John Blow (1649-1708), qui compose, entre autres, un anthem pour les obsèques du général Monk (O Lord, I Have Sinned), pour le couronnement du roi Jacques II (We Will Rejoice in the Salvation), pour celui de William et Mary (The Lord God Is a Sun), pour la dédicace de la cathédrale Saint Paul en 1697 (I Was Glad).
-
ATĪŚA ou ATĪSHA (982-1054)
- Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
- 3 476 mots
Tout enfant, à peine âgé de dix ans, il est versé en médecine et dans les lettres et s'intéresse aussi au bouddhisme. À onze ans, il rencontre un moine, Jetāri, qui l'adresse à d'autres maîtres, Avadhūtipa et Bāhulakuptavajra. Il passe sept ans avec le premier, étudiant le Madhyamaka et les pratiques tantriques. À vingt-neuf ans, il est ordonné par Śīlarakśita au Mativihāra, où il étudie l'Abhidharma.