Vert-galant
- Nom masculin singulier
Définition
- surnom du roi Henri IV
- île du Vert-galant, extrémité ouest de l'île de la Cité, à Paris
"vert-galant" dans l'encyclopédie
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CERTON PIERRE (mort en 1572)
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 1 996 mots
Il écrivit huit messes-parodies (à 4 voix) dans le style de Josquin, sur des motifs profanes (tels que Le temps qui court, Sur le pont d'Avignon) ou tirés de motets (Regnum mundi, Christus resurgens) ; cinquante motets environ, remarquables surtout par la fermeté de leur composition ; des psaumes sur les mélodies huguenotes, mais, avant tout, plus de trois cents chansons polyphoniques, publiées de 1533 à sa mort : bien que leur inspiration soit souvent inférieure à celle de Sermisy, Certon le surpasse cependant dans celles qui exigent verve, couleur ou mouvement et sont d'allure populaire (Un vert galant, Ho ! le vilain, Si par fortune, Un laboureur).
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ROBUCHON JOËL (1945-2018)
- Écrit par Jean-Claude RIBAUT
- 6 099 mots
- 1 média
» C’est bientôt Mai-68 ; cette conviction l’aide à franchir les années de doute qu’il surmonte en approfondissant sa formation, à Paris, au Vert Galant, au Clos des Bernardins et au Berkeley. Ses rencontres avec Alain Chapel (Mionnay), Jean Delaveyne (Bougival), précurseur de la « nouvelle cuisine » et qu’il considère comme son principal mentor, et Charles Barrier (Tours) confortent son engagement.
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HENRI IV (1553-1610) roi de France (1589-1610) et de Navarre (1572-1610)
- Écrit par Jean MEYER
- 21 385 mots
- 1 média
La postérité n'a gardé toutefois du Vert-Galant qu'une image idéalisée et consacrée par le martyre, image qui a été celle des contemporains le lendemain de l'assassinat, mais non point celle de la veille. Certes le règne n'a été marqué de « nul mécompte national », et s'il constitue une étape décisive dans l'instauration de la monarchie dite absolue, les mesures de circonstance y sont pour beaucoup.