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Vice-présidence

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. fonction de vice-président, personne qui seconde et éventuellement remplace le président

"vice-présidence" dans l'encyclopédie

  • PERÓN EVA (1919-1952)

    • Écrit par Gérard PONTHIEU
    • 901 mots
    • 1 média

    En 1951, l'armée rejette sa candidature à la vice-présidence. Se sachant atteinte d'un cancer, elle renonce à une certaine frivolité pour redoubler de ferveur « justicialiste » et animer de nombreux meetings. Sa mort, le 26 juillet 1952, bouleverse la plus grande partie de l'Argentine.

  • NARAYANAN KOCHERIL RAMAN (1920-2005)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 947 mots

    Huit ans plus tard, bien qu'originaire d'une caste d'intouchables traditionnellement exclus du pouvoir, il accède à la vice-présidence de la République, puis, en 1997, à sa présidence. La charge suprême est rendue difficile à ce disciple de Gandhi par sa cohabitation obligée avec les nationalistes hindous du Parti du peuple indien et par les émeutes intercommunautaires qui ensanglantent l'État du Gujarat.

  • GOULART JOÃO (1918-1976)

    • Écrit par Luiz Felipe de ALENCASTRO
    • 4 632 mots

    ) de Kubitschek, une alliance politique permit en 1955 l'élection de Kubitschek à la présidence et de Goulart à la vice-présidence du pays. La croissance économique qui caractérisa cette période fit provisoirement disparaître les clivages politiques qui existaient au sein de la société brésilienne. Mais en 1960, lorsque Jânio Quadros fut élu président, et Goulart reconduit par le suffrage populaire à la vice-présidence, la récession économique provoqua un regain des luttes politiques qui minèrent les bases des alliances électorales conclues précédemment.

  • MALIK ADAM (1917-1984)

    • Écrit par Françoise CAYRAC-BLANCHARD
    • 5 749 mots

    En mars 1983, la vice-présidence va à un général.

  • ZENG GUOFAN [TSENG KOUO-FAN] (1811-1872)

    • Écrit par Michel BRUGUIÈRE
    • 2 135 mots

    Issu d'une famille très modeste mais lettrée du Hunan, Zeng Guofan occupe la vice-présidence de différents ministères à Pékin. En 1852, il reçoit de l'empereur l'ordre d'organiser les milices locales que les notables commençaient à former pour se défendre contre l'insurrection des Taiping. Par des méthodes nouvelles (sélection, discipline et entraînement rigoureux, endoctrinement moral et politique, trésorerie indépendante), Zeng constitue l'armée du Hunan (Xiangjun), très supérieure aux troupes régulières, qui compte 60 000 hommes en 1858 (chiffre qui doublera par la suite) ; celle-ci permet, à partir de 1854, la difficile reconquête de la vallée du Yangzi et, en 1864, la prise de Nankin, qui marque la chute du royaume taiping.

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