Vice-premier
Définition
- qualifie un titre de second
"vice-premier" dans l'encyclopédie
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MCGUINNESS MARTIN (1950-2017)
- Écrit par Peter KELLNER et Encyclopædia Universalis
- 3 979 mots
Le Sinn Fein et le DUP sortent renforcés des élections législatives locales de mai 2011, et Martin McGuinness se voit confier un mandat supplémentaire en tant que vice-Premier ministre. À l’automne de 2011, il quitte ses fonctions pour se porter candidat à la présidence de la République d’Irlande sous les couleurs du Sinn Fein. Il n’arrive qu’en troisième position de ce scrutin, qui se déroule le 28 octobre et, quelques jours plus tard, revient à sa charge de vice-Premier ministre.
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SPAAK PAUL HENRI (1899-1972)
- Écrit par Louis METZEMAEKERS
- 2 784 mots
- 1 média
Celle-ci aboutit à la formation d'un cabinet d'union présidé par le social-démocrate Théo Lefèvre et au sein duquel Spaak est ministre des Affaires étrangères et Vice-Premier ministre. En mars 1966, après la défaite électorale subie par les socialistes, Spaak se retire de la vie politique et, en 1971, il quitte même le parti qu'il a servi pendant toute sa vie.
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PHOUMSAVANH NOUHAK (1910-2008)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 907 mots
Lorsque le Pathet Lao prend le pouvoir en décembre 1975 et proclame la République démocratique populaire lao, il devient vice-Premier ministre et ministre des Finances. En 1989, il est l'artisan d'une première réforme des institutions. Il remplace le président Kaysone, à la mort de celui-ci, en 1992. À la fin de son mandat, en 1998, Nouhak conserve des fonctions de conseiller spécial auprès de la haute direction communiste.
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AZIZ TAREK (1936-2015)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 3 603 mots
Homme d’État irakien, Tarek Aziz fut vice-Premier ministre (1979-2003) et ministre des Affaires étrangères (1983-1991) dans le gouvernement baasiste de Saddam Hussein. Né le 28 avril 1936 dans le nord de l’Irak, près de Mossoul, au sein d’une famille de confession catholique chaldéenne, Tarek Aziz, de son vrai nom Tarek Hanna Mikhaïl Issa, étudie l’anglais au futur collège des beaux-arts de l’université de Bagdad.
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LAPID TOMMY (1931-2008)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 052 mots
Élu député à la Knesset en 1999, membre du parti centriste laïque Shinouï (Changement), il est nommé vice-Premier ministre et ministre de la Justice dans le gouvernement d'Ariel Sharon (2003-2004). Il quitte ses fonctions pour protester contre les privilèges accordés aux ultra-orthodoxes. Lorsque le parti Shinouï se retire de la coalition gouvernementale, Lapid devient chef de l'opposition.