Vidéodisque

"vidéodisque" dans l'encyclopédie

• PIETRI CHARLES (1932-1991)

  • Écrit par Jean-Marie SALAMITO
  • 4 806 mots

  Parmi ses dernières initiatives, il faut citer la réalisation d'un vidéodisque sur lequel sont enregistrées, par milliers, les enluminures de manuscrits de la Bibliothèque vaticane. Pour les savants du pays qui l'accueillait, Pietri était l'homme d'un dialogue étonnamment fécond. Malgré d'écrasantes responsabilités, Charles Pietri ne cessait d'écrire.

• LES DEUX RÉVOLUTIONS INDUSTRIELLES DU XX^e SIÈCLE (F. Caron)

  • Écrit par Pierre MOUGENOT
  • 5 905 mots

  Au seuil de cet ouvrage (Albin Michel, Paris, 1997), qui nous mène de la machine à vapeur à l'âge du vidéodisque numérique enregistrable (DVD), François Caron commence par dégager les concepts qui doivent rester présents à l'esprit durant tout ce parcours, tels que la cohérence et l'instabilité permanente des systèmes techniques, sans parler évidemment de la notion de révolution industrielle.

• KUBRICK STANLEY (repères chronologiques)

  • Écrit par Joël MAGNY
  • 6 063 mots

  1980-1985 Kubrick aménage sa propriété de Childwick Bury, près de Londres, veille à la distribution de ses films, travaille minutieusement aux éditions en cassette et vidéodisque, rectifiant le cadrage, la qualité photographique, la longueur de chaque film. 1983 Kubrick achète les droits du Merdier, de Gustav Hasford, et rédige le scénario avec Michael Herr.

• ENREGISTREMENT

  • Écrit par Michel CALMET
  • 62 202 mots
  • 28 médias

  Le tableau de la figure donne les dimensions d'une image sur vidéodisque. Plusieurs normes de codage existent sur le marché, mais la p

• ÉLECTRONIQUE INDUSTRIE

  • Écrit par Michel-Henri CARPENTIER
  • 79 022 mots
  • 7 médias

  L'électronique intervient aujourd'hui dans la vie quotidienne de chacun, que ce soit avec le téléphone mobile ou avec l'ordinateur personnel, le téléviseur ou le lecteur de disques compacts.L 'utilisation du mot électronique dans sa présente acception est relativement récente : jusqu'à la fin des années 1950, ce vocable se rapportait le plus souvent à la seule discipline qui traitait du mouvement des électrons dans le vide, et ce qu'on appelle maintenant l'électronique désignait la radioélectricité, voire la télégraphie – ou la téléphonie – sans fil, plus connue sous le sigle T.