Vignon

"vignon" dans l'encyclopédie

• VIGNON CLAUDE (1593-1670)

  • Écrit par Claude LAURIOL
  • 4 083 mots
  • 1 média

  En 1993-1994, une exposition à Tours, à Arras puis à Toulouse, précédée d'un catalogue critique de l'œuvre de Vignon par Paola Pacht-Bassani (1992), a présenté un choix de ses œuvres les plus inspirées.

• LYSS JOHANN (1593/94 env.-env. 1629/30)

  • Écrit par Jacques FOUCART
  • 4 016 mots

  De sorte qu'après des artistes tels Rubens, Feti, Vignon, Lyss évoque irrésistiblement — et c'est bien le signe d'un grand peintre — d'autres noms comme ceux de Jordaens, Knüpfer, Jan van Noord et jusqu'au Vénitien Piazetta : Lyss ou le déploiement réussi de toute une première peinture baroque brillante, résolument supranationale et triomphaliste.

• LALLEMANT ou LALLEMAND GEORGES (1575 env.-env. 1635)

  • Écrit par Claude LAURIOL
  • 1 691 mots

  Peintre français dont l'œuvre ne nous est parvenue qu'à l'état fragmentaire, Georges Lallemant aurait probablement sombré dans l'oubli si son atelier, ouvert à Paris dès 1601, n'avait été fréquenté par des artistes de plus grande envergure : Poussin, Philippe de Champaigne, La Hyre et Claude Vignon. Né à Nancy, il leur apportait, par sa formation lorraine, le reflet du maniérisme allemand et néerlandais, et de l'art de Bellange, tandis que certains sujets et la mise en page montrent que le caravagisme ne lui est pas resté totalement étranger.

• KAHNWEILER DANIEL-HENRY (1884-1979)

  • Écrit par Yve-Alain BOIS
  • 12 328 mots

  28, rue Vignon Daniel-Henry Kahnweiler a toujours conçu son rôle de marchand de manière partisane et propédeutique ; la confiance inaltérable qu'il a en son propre jugement (les doutes sont, chez lui, très rares et tardifs, et toujours liés au sentiment de vieillesse) est celle d'un homme des Lumières : adolescent, il voulait être chef d'orchestre, c'est-à-dire intermédiaire, mais aussi organisateur.

• ANGOULÊME, histoire de l'art

  • Écrit par Pierre DUBOURG-NOVES
  • 5 054 mots
  • 1 média

  Vignon) ; dans l'ancienne abbaye Saint-Cybard, une salle des xve-xvie siècles ; à quatre kilomètres d'Angoulême se trouvent encore les ruines de l'ancienne abbaye de La Couronne, à triple nef de style angevin (fin du xiie s.), une façade flamboyante, un logis abbatial du xve siècle et des bâtiments claustraux du xviiie. La Renaissance a donné la remarquable chapelle Saint-Gelais, œuvre d'un atelier italien itinérant (env.