Vingt-six
- Adjectif numérique cardinal
Définition
Employé comme adjectif
- adjectif numéral vingt plus six
Employé comme nom
- le nombre vingt-six
"vingt-six" dans l'encyclopédie
-
FIGINI MICHELA (1966- )
- Écrit par Pierre LAGRUE
- 674 mots
Elle s'est imposée à vingt-six reprises lors d'une épreuve de Coupe du monde, dont dix-sept fois en descente.
-
JEAN DE BRITTO saint (1647-1693)
- Écrit par Joseph DEHERGNE
- 753 mots
Il réussit à l'âge de vingt-six ans à gagner les Indes et se rend dans la mission du Madurai ; il se fait pandaramswami à la vie pénitente afin d'approcher avec précaution le milieu des parias sans être rejeté par les hautes castes. Il est mandé comme procureur de la province du Malabar, en 1686. De retour au Marava, il est plusieurs fois arrêté et mène une vie héroïque.
-
BRADDOCK JAMES (1905-1974)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 3 026 mots
Au cours de sa carrière, il a disputé quatre-vingt-six combats et a remporté cinquante et une victoires (dont vingt-six avant la limite). Il meurt le 29 novembre 1974, à North Bergen, dans le New Jersey. En 2005, le cinéaste Ron Howard retracera son histoire dans le film Cinderella Man – Russell Crowe interprétant le rôle de Braddock.
-
LLANSOL MARIA GABRIELA (1931-2008)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 950 mots
Née à Lisbonne, Maria Gabriela Llansol est l'auteur de vingt-six livres écrits « dans les marges de la langue ». Son œuvre transcende toute frontière de genre et oscille constamment entre prose et poésie, fiction et journal intime. En français ont été traduits notamment le premier tome de son journal (Un faucon au poing, 1993), Les Errances du mal (1986) et La Foudre du crayon (1991).
-
DÉCOUVERTE D'ORRORIN TUGENENSIS
- Écrit par Herbert THOMAS
- 1 015 mots
L'existence de ce nouvel hominidé très ancien, baptisé Orrorin tugenensis mais plus connu sous le nom de Millenium ancestor (l'ancêtre du millénaire), avait en fait été pressentie dans ce même gisement lorsque Martin Pickford y découvrit vingt-six ans auparavant, une unique molaire qu'il était alors impossible d'attribuer. Si l'humérus et la phalange de la main, longue et incurvée, indiquent qu'Orrorin était encore agile dans les arbres, les fémurs en revanche témoignent chez cette créature d'un mode de locomotion fréquemment bipède au sol.