Vingtaine
- Nom féminin singulier
Définition
- en technologie, quantité représentant vingt unités, très souvent quantité approximative, autour de vingt
"vingtaine" dans l'encyclopédie
-
CORVETTE
- Écrit par Jacques MÉRAND
- 430 mots
De fines proportions, armée et gréée comme la frégate, mais ne dépassant pas une vingtaine de mètres, elle assure, dans l'escadre, des missions de reconnaissance, de transmission, de répétition de signaux. À partir de 1750, la corvette prend de plus grandes proportions et devient vaisseau de ligne. En 1773, elle sert déjà de navire-école.
-
CAMP D'EXTERMINATION
- Écrit par Michael BERENBAUM
- 3 330 mots
- 2 médias
Par exemple, le personnel de Treblinka n'était composé que de 120 personnes, dont seulement une vingtaine ou une trentaine appartenaient aux SS. Le personnel de Belzec était composé de 104 personnes, dont une vingtaine de SS. La mise à mort se faisait dans chaque centre par des gaz asphyxiants. À Chelmno, le premier camp d'extermination, dans lequel le gazage commença le 8 décembre 1941, des camionnettes transformées en chambres à gaz mobiles asphyxiaient leurs passagers avec l'oxyde de carbone émis par le moteur.
-
BELISAMA
- Écrit par Christian-Joseph GUYONVARC'H
- 488 mots
Le nom celtique de Belisama est attesté par une vingtaine de toponymes français tels que Blesmes, Bellême, Balesmes, Blismes, Velesmes. Autrement, en source directe, le théonyme est fourni au datif Belesami par une inscription gauloise découverte en 1840 à Vaison (Vaucluse). Il est composé du thème bel- et d'une désinence superlative féminine -isama.
-
MOPSIK CHARLES (1956-2003)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 713 mots
Il est notamment l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages, traductions et éditions, parmi lesquels l'anthologie Les Grands Textes de la Cabale (1993) et de Cabale et cabalistes (1997). Chargé de recherche au C.N.R.S. à partir de 1989, il est attaché au Centre d'études des religions du Livre (C.E.R.L.) de 1989 à 1999, puis au Centre d'études interdisciplinaires des faits religieux (C.
-
THOMAS AMBROISE (1811-1896)
- Écrit par Philippe BEAUSSANT
- 820 mots
Esprit médiocre, voire mesquin (dans son opposition à Berlioz par exemple), il est le grand maître de l'académisme du milieu du siècle ; habile artisan, il compose une vingtaine d'opéras et d'opéras-comiques (Le Songe d'une nuit d'été, 1850 ; Le Carnaval de Venise, 1857 ; Mignon, 1866 ; Hamlet, 1868), des messes, des cantates, un Requiem. Rien dans l'œuvre de Thomas ou dans son enseignement ne dépasse la médiocrité.