Vitré
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- muni de vitres, plaques de verre qui servent à garnir les fenêtres ou les portes
- en anatomie, masse vitreuse du cristallin
Forme dérivée du verbe « vitrer »
"vitré" dans l'encyclopédie
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LANTERNE, LANTERNEAU ou LANTERNON, architecture
- Écrit par Maryse BIDEAULT
- 1 075 mots
- 1 média
Le lanterneau ou lanternon, qui serait d'origine hellénistique, se réduit à un petit dôme vitré ou ajouré posé au sommet d'une coupole (église Saint-Yves-de-la-Sapience à Rome, xviie s.) ou d'une cage d'escalier (château de Chambord) pour leur donner du jour tout en leur servant d'amortissement. Les lanternons peuvent avoir des formes très variées (circulaire, octogonale, elliptique, etc.
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ŒIL HUMAIN
- Écrit par Jean-Antoine BERNARD et Guy OFFRET
- 61 273 mots
- 13 médias
Une hémorragie du vitré dans la chambre antérieure
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PASSAGES, architecture
- Écrit par Jean-François POIRIER
- 38 991 mots
Mais rares sont les passages ouverts qui ont été recouverts par la suite d'un toit vitré. Le toit vitré fait partie intégrante du type et le passage est conçu en fonction de lui. Le premier modèle de toit vitré, c'est le toit à deux pans sur fermes métalliques prenant appui sur les bâtiments qui bordent le passage. Le passage présente encore l'aspect d'une rue couverte.
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MORIN JEAN (1610 env.-1650)
- Écrit par Maxime PRÉAUD
- 2 866 mots
Ainsi les portraits du libraire Antoine Vitré, du Cadet à la perle, du cardinal de Richelieu sont-ils, entre autres, dignes d'être remarqués. Mais s'il ne grava que quatre fois d'après Van Dyck, ce ne fut pas avec une moindre réussite, comme en témoigne la saisissante effigie du cardinal Guido Bentivoglio. La plupart des imitateurs de Morin le trahirent en se contentant d'un pointillé plus ou moins habile.
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AMIENS CATHÉDRALE D'
- Écrit par Arnaud TIMBERT
- 2 881 mots
- 2 médias
En 1258, les chapelles rayonnantes sont achevées et, en 1269, le sanctuaire est vitré. Le plan du monument présente de nombreux points communs avec ceux des cathédrales de Chartres et de Reims : une nef à trois vaisseaux, un transept à bas-côtés, un chœur avec un déambulatoire ; toutefois, le parti amiénois se distingue par un nombre supérieur de chapelles rayonnantes (sept au lieu de cinq), par l’abandon des tours du transept et par le recours au plan rectangulaire, et non carré, pour les deux tours (112,70 mètres de hauteur) de la façade occidentale bâties aux xive et xve siècles.