Volanter
- Verbe à l'infinitif
Définition
- en couture, ajouter un volant à une robe
"volanter" dans l'encyclopédie
-
NAVETTE VOLANTE
- Écrit par Jacques MÉRAND
- 712 mots
Le tisseur faisant autrefois passer la navette d'une main dans l'autre, c'était l'écartement de ses bras qui imposait sa largeur à l'étoffe ainsi confectionnée. La navette volante, au contraire, permettra de tisser sur grande largeur. Elle est inventée en 1733 par John Kay, fabricant de peignes pour le tissage. À droite et à gauche du métier sont disposés, sur glissières, deux taquets mobiles qui, manœuvrés par un jeu de ficelles, se renvoient la navette.
-
CERF-VOLANT
- Écrit par Jacques MÉRAND
- 989 mots
Inévitablement, et depuis les textes chinois eux-mêmes, le cerf-volant devait suggérer mille extravagances sur les possibilités de l'envol.
-
NAVETTE VOLANTE, en bref
- Écrit par Olivier LAVOISY
- 1 194 mots
Fils d'un fabricant de laine, l'Anglais John Kay (1704-vers 1780) apporte la première amélioration aux métiers à tisser traditionnels. En 1733, il reçoit un brevet pour une machine incorporant une navette volante (flying shuttle) qui est actionnée par un dispositif mécanique. Cette innovation permet de produire des tissus de plus grande largeur avec une main-d'œuvre moins importante et plus rapidement.
-
LUCANE CERF-VOLANT
- Écrit par Santiago ARAGÓN
- 2 492 mots
- 2 médias
Le lucane cerf-volant (Lucanus cervus), l'un des Coléoptères les plus connus d'Europe, est répandu sur l'ensemble du continent jusqu'au sud de la Scandinavie. En France, on peut l'observer surtout dans les bois de chênes et de châtaigniers, mais il peut aussi se développer sur d'autres feuillus tels que les ormes, les érables et les hêtres. Il vole au crépuscule.
-
LA MONTAGNE VOLANTE (C. Ransmayr)
- Écrit par Nicole BARY
- 5 399 mots
Né en 1954, l'Autrichien Christoph Ransmayr aime écrire des récits de voyage qui entraînent leurs protagonistes jusqu'aux limites de l'extrême : Les Effrois de la glace et des ténèbres (1984, trad. franç. 1989) retraçaient l'expédition austro-hongroise partie à la découverte de l'Arctique en 1872, qui fut prise dans les glaces de l'hiver et condamnée à rentrer à pied pour éviter de mourir de froid et sans doute aussi de faim.