Voué
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- consacré
Forme dérivée du verbe « vouer »
"voué" dans l'encyclopédie
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GRANGERS
- Écrit par André KASPI
- 1 254 mots
Pourtant, leur mouvement est voué à l'échec tant que les compagnies ferroviaires ne seront pas contrôlées par le gouvernement fédéral. En outre, la dépression de 1873 porte un très rude coup aux coopératives. Au début des années quatre-vingt, les grangers disparaissent et sont remplacés par les alliances de fermiers. Par bien des aspects, ils annoncent les populistes de la fin du siècle.
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STROBEL HEINRICH (1898-1970)
- Écrit par Brigitte MASSIN
- 1 074 mots
À la suite de nombreux compositeurs allemands, il est à son tour animateur du festival de Donaueschingen, voué à la musique contemporaine, auquel il donne un rayonnement international. Son ardeur à promouvoir les créateurs de son temps lui vaut également d'être (en 1956) président de la Société internationale de musique contemporaine (S.I.M.C.).
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TELLUS
- Écrit par Jean-Paul BRISSON
- 1 441 mots
- 1 média
C'est dans une telle circonstance que son temple fut voué et édifié sur l'Esquilin en ~ 268. À la différence de Cérès qui n'est guère qu'une abstraction personnifiée, la Croissance, le mot tellus garde sa valeur de nom commun : en dehors des formules rituelles où il est utilisé comme nom propre avec valeur d'abstraction divine, il désigne tout simplement la terre au sens le plus concret.
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FERDINAND Ier (1793-1875) empereur d'Autriche (1835-1848)
- Écrit par Bernard VOGLER
- 1 433 mots
Mais, en raison de l'absence d'un arbitre, le gouvernement, tiraillé par des dissensions internes, est voué à une impuissance qui va favoriser le succès initial de la révolution de 1848. Toutefois, l'empereur est doué de remarquables qualités humaines (bonté, douceur et disponibilité) qui, jointes à sa profonde piété, lui ont valu une certaine popularité et le surnom de Bon.
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SENSUALISME
- Écrit par Hubert FAES
- 5 510 mots
Même si tout a son origine dans la sensation et demeure continuellement fonction du sentir actuel, ce sensualisme n'est pas voué pour autant au relativisme et à l'hédonisme. Il se distingue de celui que l'on prête parfois à des Anciens, Héraclite ou Protagoras, et que Platon discute dans le Théétète : si tout procède de la sensation et si la mesure de toute chose est pour chacun sa capacité de sentir, l'homme est voué au pur devenir, au changement incessant des apparences.