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Voyou

  • Nom masculin singulier

Définition

Employé comme adjectif

  1. relatif aux voyou s (un air voyou )

Employé comme nom

  1. délinquant, celui qui vit en marge des lois
  2. celui qui traîne sans occupation au bord de la délinquance
  3. familièrement, enfant turbulent (petit voyou )

"voyou" dans l'encyclopédie

  • YOKOYAMA TAIKAN (1868-1958)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 616 mots

    Cette nouvelle manière est désignée péjorativement par le terme mōrōtai (mōrō signifie « vague », « flou », mais a des connotations très négatives à l'époque ; mōrō shafu, par exemple, désigne un voyou). Yokoyama est nommé membre du jury de l'exposition artistique (dite Bunten) du ministère de l'Éducation, créée en 1907. Il est démis de son poste en raison de querelles internes et se consacre alors à faire revivre l'Institut japonais des beaux-arts, qui avait fermé ses portes après la mort d'Okakura Kakuzō.

  • JDANOVISME

    • Écrit par Alexis BERELOWITCH
    • 3 361 mots

    Ainsi Zochtchenko est traité de voyou, de décadent, de maniaque sexuel en raison de son intérêt pour la psychanalyse ; et sa satire est alors regardée comme inspirée par la haine du peuple soviétique. Oubliant qu'au moment du siège de Leningrad Akhmatova avait célébré l'unité de la nation, on ne voit plus en elle qu'une poétesse de salon, étrangère à ce même peuple.

  • ATTENBOROUGH RICHARD (1923-2014)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 2 988 mots

    Il recueille les éloges pour ses interprétations d’un voyou sociopathe dans Le Gang des tueurs (Brighton Rock, 1947), d’un soldat dans la comédie Ce Sacré z’héros (Private’s Progress, 1956) et sa suite, Après moi le déluge (I’m All Right Jack, 1959). Un autre de ses rôles marquants sera celui du chef d’escadron qui conçoit un plan pour s’évader d’un camp de prisonniers de guerre allemand dans La Grande Évasion (The Great Escape, 1963).

  • TORMA JULIEN (1902-1933)

    • Écrit par Noël ARNAUD
    • 3 081 mots

    Ni homme de lettres ni poète (c'est lui qui s'en défend), aventurier, un peu voyou, cynique, à l'instar de Rimbaud qu'il admire et dont le rapprochent d'autres penchants, Julien Torma laisse une œuvre écrite nombreuse pour une si brève existence, et des plus hétéroclites au double sens du mot : diverse et anomale. On le sait né à Cambrai, d'un père d'origine hongroise ; il anagrammatisera son nom comme l'avait fait le peintre Tarom (Charles), un des exposants du salon des Incohérents en 1887.

  • LAUTNER GEORGES (1926-2013)

    • Écrit par René PRÉDAL
    • 3 687 mots

    Présentés à leur avantage dans des intrigues taillées sur mesure, face à d'autres interprètes chargés de leur donner la réplique sans leur voler pour autant la vedette, prononçant des dialogues intégrant subtilement leurs tics préférés, filmés sous leur meilleur profil, toujours légèrement décalés pour suggérer le détachement de ceux auxquels on ne la fait pas, Alain Delon (Il était une fois un flic, 1971 ; Les Seins de glace, 1974 ; Mort d'un pourri, 1977), Jean-Paul Belmondo (Flic ou voyou, 1979 ; Le Guignolo, 1980 ; Le Professionnel, 1981 ; Joyeuses Pâques, 1984, tous dans les premiers au box-office de la période) occupent le haut de l'affiche.

Recherche alphabétique

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