Vulvaire
- Nom féminin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- en anatomie, relatif à la vulve, l'orifice extérieur du vagin
Employé comme nom
- en botanique, variété de chénopode dont les feuilles exhalent une odeur fétide
"vulvaire" dans l'encyclopédie
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SALICAIRE
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 1 314 mots
100 s'emploie sur l'eczéma, l'intertrigo, les ulcères variqueux, le prurit vulvaire, et en injections dans les vaginites.
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PRURIT
- Écrit par Pierre de GRACIANSKY
- 1 529 mots
Le prurit anal et le prurit vulvaire sont des prurits localisés qui sont fréquents ; ils posent des problèmes étiologiques particuliers.
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TRICHOMONASES
- Écrit par Yves GOLVAN
- 3 505 mots
Les leucorrhées se manifestent sous forme de pertes purulentes, elles entraînent un œdème et une irritation vulvaire ; dans cette forme aiguë ne sont pas rares les modifications de l'état général (nausées, migraines, fatigues), des troubles urinaires (brûlures à la miction), des troubles psychocaractériels. Les formes subaiguës et les formes frustes sont très fréquentes et sont contagieuses, malgré l'absence de signes cliniques importants.
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CANDIDOSES ou MONILIASES
- Écrit par Jacques BEJOT
- 3 313 mots
- 1 média
La vaginite à Candida se manifeste par des pertes et par une irritation locale dont témoignent dysurie, dyspareunie et prurit vulvaire ; l'affection constitue une maladie vénérienne. Chez l'homme, les Candida entraînent une urétrite ou des lésions du gland, elles-mêmes facteur de dissémination. Les candidoses génitales viennent actuellement au premier rang des maladies sexuelles transmissibles, avec la blennorragie.
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VAGINITE
- Écrit par Jules SCEMLA
- 4 192 mots
Cliniquement, le symptôme majeur est la leucorrhée (pertes vaginales) dont les aspects, variables selon les cas, sont la cause de complications locales (prurit vagino-vulvaire, dyspareunie) et générales (asthénie, insomnie, troubles psychiques parfois, état subfébrile). Toute leucorrhée nécessite un prélèvement (frottis vaginal) afin de procéder à un triple examen : un examen cytobactériologique approfondi pour connaître la nature du germe en cause et lui opposer un traitement approprié ; un examen cytohormonal et une mesure du pH pour tester la fonction œstrogénique de l'ovaire ; des examens de dépistage du cancer, selon la méthode de Papanicolaou, chez toute femme à partir de quarante ans.