Waterman

"waterman" dans l'encyclopédie

• OTHELLO, jeu

  • Écrit par Thierry DEPAULIS
  • 3 493 mots
  • 1 média

  C'est toutefois la création de Lewis Waterman, publiée pour la première fois vers 1880 sous le nom de Reversi, qui se rapproche le plus de l'Othello. En fait, il s'agit bien du même jeu, mais au Reversi le tablier est vide au départ, alors qu'avec l'Othello on place quatre pions au centre, alternativement noirs et blancs. Le jeu britannique avait eu le temps de faire une carrière discrète dans la plupart des pays d'Europe : commercialisé dès la fin du xixe siècle par le fabricant anglais John Jaques & Son, puis au début du xxe siècle en France par l'éditeur Watilliaux ainsi qu'en Allemagne, il n'avait pas disparu des catalogues, car la firme allemande Ravensburger l'avait repris en 1968.

• BICH MARCEL (1914-1994)

  • Écrit par Caroline BRUN
  • 5 564 mots

   100 des actions de Waterman USA. Il déchante vite, mais il s'accroche. Après avoir injecté au total 50 millions de francs, il finira par trouver sa place sur cet énorme marché. C'est avec la même méthode, et la même ténacité, que le patron de cet empire de plus en plus tentaculaire décline progressivement toute la gamme du “jetable” : le briquet, en 1972, après avoir racheté la société Flaminaire (qu'il revendra peu après, préférant construire une usine “maison”) ; le rasoir, en 1975, ce qui lui donne une longueur d'avance sur tous ses concurrents ; enfin, le parfum, en 1988, premier échec majeur d'un système qu'il croyait infaillible.

• BUREAUCRATIE

  • Écrit par Michel CROZIER
  • 23 464 mots

  Ce sont des essayistes et des consultants comme Peter Drucker, Alvin Toffler, Hervé Serieyx, Peters et Waterman, des spécialistes de management ou des sociologues comme Michael Maccoby, Rosabeth Moss Kanter et Michel Crozier.

• QUÉBEC Littérature

  • Écrit par Jean-Louis JOUBERT, Antony SORON et Encyclopædia Universalis
  • 61 382 mots
  • 9 médias

  Dans Volkswagen Blues (1984), Jacques Poulin dessine l’itinéraire de Jack Waterman à la recherche de son frère Théo comme un hommage tout à la fois aux Indiens d’Amérique massacrés et au roman de Jack Kerouac, On the Road (1957). Moins autocentré sur un espace géographique de référence, le roman québécois s’autorise à dériver loin de son Ithaque montréalaise.