Welwitschia
- Nom masculin singulier
Définition
- en botanique, plante africaine de la classe des gnétophytes
"welwitschia" dans l'encyclopédie
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GNÉTOPHYTES
- Écrit par Michel FAVRE-DUCHARTRE
- 9 563 mots
- 3 médias
Welwitschia L'unique espèce de Welwitschia, W. mirabilis, ne se développe que dans les déserts du Sud-Ouest africain. Cette plante étonnante est constituée d'une courte souche pourvue d'une puissante et longue racine pivotante et portant uniquement deux grandes feuilles rubanées, à nervures parallèles comme chez les Monocotylédones. Ces feuilles s'accroissent par leurs bases et se désagrègent à leurs extrémités, deux ou trois mètres plus loin.
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GYMNOSPERMES
- Écrit par Sophie NADOT et Hervé SAUQUET
- 22 002 mots
- 7 médias
Welwitschia (Welwitschiaceae) est endémique du désert de Namibie. Gnetum (Gnetaceae) possède une large distribution tropicale (principalement Amazonie, Afrique centrale et Asie du Sud-Est). Classification et phylogénie Contrairement aux Angiospermes, il n’existe actuellement pas de consensus ni sur les relations de parenté (phylogénie) des Gymnospermes, ni sur leur classification.
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NAMIB
- Écrit par Richard F. LOGAN
- 13 254 mots
- 2 médias
Le welwitschia (Welwitschia mirabilis) est une plante étonnante qui ne pousse que dans le désert du Namib. Il est constitué d'une courte souche portant uniquement deux grandes feuilles, qui s'accroissent par leur base et se désagrègent à leur extrémité, deux ou trois mètres plus loin. Les plaines et les dunes du Namib oriental abritent de nombreuses espèces d'antilopes, en particulier des gemsboks (oryx du Cap) et des springboks, ainsi que des autruches et quelques zèbres.
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JUGLANDALES
- Écrit par Gérard AYMONIN
- 8 505 mots
- 2 médias
Le genre calédonien Canacomyrica serait la seule Angiosperme vivante dont l'ovaire est muni d'un appendice rappelant la structure des Welwitschia, des Ephedra et des Conifères.
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EMBRYOLOGIE VÉGÉTALE
- Écrit par Michel FAVRE-DUCHARTRE
- 11 639 mots
- 2 médias
Chez les plantes à ovules nus que sont les Préspermaphytes (Cycadaceae et ginkgo) et les Spermaphytes Gymnospermes, l'embryogenèse débute (sauf chez Sequoia, Gnetum et Welwitschia) par un stade (cœnocytique) où les noyaux sont dits libres, car la première apparition de parois cellulaires est différée jusqu'après la formation de 8 noyaux le plus souvent, mais dans certains genres de 16, 32 (Podocarpus), 64 (Araucaria), 256 (Ginkgo) et jusqu'à 2 048 (cycas), c'est-à-dire 211, résultat de onze mitoses diploïdes simultanées après celle du zygote.