Won
- Nom masculin singulier
Définition
- unité monétaire coréenne
"won" dans l'encyclopédie
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SILHAK
- Écrit par Ogg LI
- 1 896 mots
posthume, 1770) de Yu Hyǒng-wǒn (1622-1673), le Sǒng-ho sä-sǒl (Commentaires de Sǒng-ho, déb. xviiie s.) de Li Ik (1681-1763). Les idées de ces trois auteurs sont encore mieux développées chez Djǒng Yak-yong (alias Ta-san, 1762-1836) dont nous pouvons citer le Kyǒng-se yu-p'o (Modèles d'institutions et de rites, déb. xixe s.) et le Mok-min sim-sǒ (Maximes pour l'administration, déb.
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WALLACH ELI (1915-2014)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 114 mots
Sa filmographie comprend également : Les Désaxés (The Misfits, 1961), La Conquête de l’Ouest (How the West Was Won, 1962), Lord Jim (1965), Genghis Khan (1965). Comment voler un million de dollars (How to Steal a Million, 1966), Le Parrain 3 (The Godfather, Part III, 1990), Mystic River (2003) et Wall Street : l’argent ne dort jamais (Wall Street : Money Never Sleeps, 2010).
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REYNOLDS DEBBIE (1932-2016)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 494 mots
On la retrouve également dans La Conquête de l’Ouest (How the West Was Won, 1962), Au revoir, Charlie (Goodbye Charlie, 1964), Dominique (The Singing Nun, 1966) ou encore Divorce à l’américaine (Divorce American Style, 1967). En 1973, elle prête sa voix au personnage principal du dessin animé Le Petit Monde de Charlotte (Charlotte’s Web). Parallèlement à ses prestations au cinéma, elle est la vedette de la série télévisée The Debbie Reynolds Show (1969-1970).
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L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE, film de John Ford
- Écrit par Jacques AUMONT
- 5 273 mots
Si l'on excepte un épisode de La Conquête de l'Ouest (How the West Was Won, 1963), tourné peu après par Ford, c'est le dernier western d'un homme qui en avait réalisé un grand nombre, au cours d'une quarantaine d'années. Le titre, délibérément sans originalité, se calque sur un schème banal, L'Homme qui..., L'Homme au... ; John Ford (1894-1973) se rattrape sur le nom, inattendu, de la victime, Liberty.
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CLASH THE
- Écrit par Charles Shaar MURRAY et Encyclopædia Universalis
- 4 866 mots
La représentation la plus mémorable des Clash demeure la reprise du classique du rockabilly composé par le Bobby Fuller Four I Fought the Law (dont le refrain est « I fought the law / And the law won » : « j'ai combattu la loi / et la loi a gagné ») ; en remplaçant « the law » par « the music business » ou « capitalism », les stars du punk mettront le doigt sur leur dilemme perpétuel.