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Xérophile

  • Adjectif singulier invariant en genre

Définition

  1. en botanique, se dit d'une plante qui aime les climats chauds et secs

"xérophile" dans l'encyclopédie

  • CASUARINALES

    • Écrit par Évelyne HODCENT
    • 7 892 mots
    • 4 médias

     de Cordemoy, le type Gymnostome serait le résultat de l'adaptation du type primitif Cryptostome australien, xérophile, à des conditions climatiques humides. L'Australie constituerait le foyer de dispersion des Casuarina. Très répandus, ils y sont appelés oaks car leur bois, comme celui des chênes, présente en section transversale de larges rayons médullaires.

  • TRYPANOSOMIASE AFRICAINE ou MALADIE DU SOMMEIL

    • Écrit par Robert DURIEZ
    • 8 652 mots

    Deux horizons africains d'écologie différente se partagent le domaine de l'affection et correspondent à deux biotypes de mouches : Glossina palpalis, insecte hygrophile qui affectionne les épaisses forêts chaudes et très humides du bassin du Congo ; Glossina morsitans, espèce xérophile qui préfère les vastes savanes arborescentes plus chaudes et surtout beaucoup plus sèches de l'Est africain où les grands gibiers paissent par troupeaux entiers.

  • GRAMINALES

    • Écrit par Henri PRAT
    • 12 258 mots
    • 11 médias

    La tribu des Andropogonées (60 genres, 1 000 espèces) se distingue de la précédente par ses fleurs généralement unisexuées (les unes seulement mâles, d'autres femelles) et une tendance plus xérophile ; elle comprend plusieurs espèces utiles à l'homme : les sorghos (Sorghum), la canne à sucre (Saccharum) dont la tige est riche en saccharose. La tribu des Maydées, beaucoup plus petite (7 genres et 24 espèces seulement), joue néanmoins un grand rôle économique, puisque le genre Zea (le maïs) forme la base de l'alimentation de nombreuses populations des deux Amériques.

  • AFRIQUE (Structure et milieu) Biogéographie

    • Écrit par Théodore MONOD
    • 31 355 mots
    • 19 médias

    Doit-on admettre un ou plusieurs déplacements en latitude de la forêt équatoriale, partie d'Afrique du Nord et venue s'installer sur ses positions actuelles précédemment occupées par des végétations sèches ? Faut-il accepter l'hypothèse d'une vieille flore africaine archaïque, tertiaire, plus ou moins xérophile, aujourd'hui surtout australe, orientale, désertique et montagnarde ? Existe-t-il un centre de spéciation et de dispersion austral ? La région du Cap a-t-elle fonctionné comme une tête de pont ou seulement comme cul-de-sac ? Ce sont là quelques-uns des grands problèmes de la biogéographie africaine dont la solution ne semble pas encore en vue.

  • MAYAS

    • Écrit par Éric TALADOIRE
    • 36 752 mots
    • 20 médias

    Un milieu varié On divise traditionnellement le pays maya en trois grands ensembles géographiques : les hautes terres volcaniques méridionales du Guatemala, bordées au sud d'une étroite plaine sur la rive du Pacifique ; au centre, la vaste forêt tropicale du Petén, qui englobe, à l'ouest, le Chiapas et le Tabasco (Mexique) et, à l'est, le Belize et l'ouest du Honduras ; au nord, les États mexicains de Campeche, Quintana Roo et du Yucatán constituent l'aire maya septentrionale, vaste plateau calcaire poreux, dépourvu de cours d'eau, au climat plus sec, recouvert d'une végétation xérophile basse.

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