Za
Issu de la forme : za
- Nom masculin singulier
Définition
- en musique, ancien nom du "si bémol"
"za" dans l'encyclopédie
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KREJČA OTOMAR (repères chronologiques)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 960 mots
En 1990, après la chute du régime communiste, Otomar Krejča rentre à Prague et rouvre Za Branou en présentant La Cerisaie de Tchekhov. Malheureusement, cette tentative de refondation échoue au bout de quatre ans. Krejca n'en continue pas moins de travailler à de nouvelles mises en scène, notamment le Faust de Goethe et Minetti de Thomas Bernhard.
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KREJČA OTOMAR (1921-2009)
- Écrit par Armel MARIN
- 3 089 mots
Le 10 juin 1972, le Divadlo Za Branoun était fermé sur ordre de l'État. Krejča devra attendre près de deux ans avant de reprendre son travail de metteur en scène en Tchécoslovaquie. Ses paroles au congrès de l'Union des artistes de théâtre, en 1969, ont valeur de manifeste : « Un art ne s'impose pas, il ne s'infiltre pas, il ne manifeste pas, mais il contamine ; il ne crie pas, mais il chuchote.
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NEUF SAINTS LES
- Écrit par Jacques DUBOIS
- 1 119 mots
Ils s'appelaient Za-Mikael, Pantaleouom, Isaac, Afsé, Gouba, Alef, Mata, Liqanos et Sehma, et portèrent tous le titre d'Abba (Père). Ils sont considérés comme « romains » parce qu'ils venaient de l'Empire romain. On a beaucoup discuté sur leur origine exacte et sur leur appartenance religieuse. Leurs noms indiquent que ces moines vinrent de Syrie au vie siècle.
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SHARAKU TŌSHŪSAI (actif 1794-1795)
- Écrit par Daisy LION-GOLDSCHMIDT
- 6 540 mots
C'est parmi les trois troupes d'Edo – Miyako-za, Kawarazaki-za, Kiri-za – que Sharaku prend ses modèles. La grande majorité de ses estampes, en effet, sont des portraits d'acteurs. Il faut y ajouter ceux de quelques lutteurs de sumo (lutte japonaise) et de rares images de guerriers. L' estampe de théâtre est l'héritière d'une longue tradition, maintenue depuis la fin du xviie siècle par l'école des Torii.
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TVARDOVSKI ALEXANDRE TRIFONOVITCH (1910-1971)
- Écrit par Jean CATHALA
- 1 458 mots
L'Horizon infini (Za dal'ju dal'), poème inspiré par un voyage à travers la Sibérie, sort en 1960. En 1963, Khrouchtchev autorise la publication de Tiorkine dans l'autre monde, satire de la société bureaucratique. Vers sur un journal intime (1961) et Lyrisme de ces années (1967) marquent un tournant vers la méditation. La censure interdira Les Droits de la mémoire (1968 ?).