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KANTOROW ALEXANDRE (1997- )

Le pianiste Alexandre Kantorow est né à Clermont-Ferrand le 20 mai 1997 de parents tous deux violonistes. Son père, Jean-Jacques Kantorow, né en 1945, issu d’une famille russe, mène une brillante carrière de soliste, ponctuée de nombreux prix internationaux. En 1981, il fonde et anime l’Orchestre d’Auvergne. Depuis, il a dirigé plusieurs formations françaises : l’Orchestre de chambre de Paris, l’Orchestre symphonique d’Orléans, l’Orchestre symphonique de Douai Région Hauts-de-France.

Sur les ailes de la musique

Alexandre Kantorow - crédits : Stéphane De Sakutin/ AFP

Alexandre Kantorow

Le jeune Alexandre est donc plongé dès l’enfance dans l’univers de la musique. À l’âge de cinq ans, il commence l’étude du piano. Alors qu’il est encore à l’école primaire, il suit les cours de Dominique Kim au conservatoire à rayonnement régional (CRR) de Cergy-Pontoise. À huit ans, il intègre le conservatoire du Xe arrondissement de Paris. Il a onze ans quand Pierre-Alain Volondat prend le relais de sa formation et treize lorsqu’il entre à la Schola Cantorum de Paris dans la classe d’Igor Lazko. Il est admis au Conservatoire national de Paris dans celles de Frank Braley et Haruko Ueda, puis dans celle de la pianiste russe Rena Shereshevskaya à l’École normale de musique de Paris. Il bénéficie en outre des conseils d’amis de son père, les pianistes Jacques Rouvier, Jean-Philippe Collard, Georges Pludermacher, Théodore Paraskivesco et Christian Ivaldi. Très tôt – il n’a que seize ans –, il commence une carrière de concertiste avec diverses formations (le Sinfonia Varsovia, l’Orchestre philharmonique royal de Liège, l’Orchestre national des Pays de la Loire, l’Orchestre de chambre de Bordeaux), parfois sous la direction de son père. Très impressionnée par ses débuts, la presse ne tarit pas d’éloges sur le jeune virtuose, qui poursuit son parcours à la Philharmonie de Paris, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Konzerthaus de Berlin, au Bozar de Bruxelles, ainsi que dans divers festivals (La Folle journée de Nantes, La Roque-d’Anthéron, Nohant, « Piano aux Jacobins » à Toulouse).

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Alexandre Kantorow - crédits : Stéphane De Sakutin/ AFP

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