ANTIGONE, Sophocle Fiche de lecture
Bibliographie
Antigone, trad. P. Mazon, 1re éd., Les Belles Lettres, Paris, 1962 ; rééd. coll. Folio, Gallimard, 1973
Antigone, trad. J. et M. Bollack, éd. de Minuit, Paris, 1999.
Études
A. Armel dir., Antigone, Autrement, Paris, 1999
S. Fraisse, Le Mythe d'Antigone, Armand Colin, Paris, 1974
G. Steiner, Les Antigones, trad. P. Blanchard, coll. Folio, no 182, Gallimard, Paris, 1992.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Aliette ARMEL : romancière et critique littéraire
Classification
Médias
Autres références
-
ANTIGONE
- Écrit par Robert DAVREU
- 672 mots
Issue de l'union maudite, parce qu'incestueuse, d'Œdipe et de Jocaste, elle porte bien son nom (du grec Antigonê), celle que sa piété familiale condamnera à une mort atroce sans époux ni descendance, au terme d'une courte vie toute de malheur, d'errance et de déréliction. Être...
-
GRÈCE ANTIQUE (Civilisation) - L'homme grec
- Écrit par André-Jean FESTUGIÈRE
- 8 602 mots
Le débat de l'Antigone de Sophocle est un débat éternel. À qui devons-nous obéir, aux lois établies par la cité, ou à ces lois « non écrites », mais gravées au fond de la conscience et dont nous sentons bien que nous ne sommes plus rien si nous acceptons de les trahir ? Il n'est pas nécessaire... -
JUSTICE (notions de base)
- Écrit par Philippe GRANAROLO
- 3 431 mots
...Montesquieu, la justice semble pouvoir prendre appui sur des fondements qui ne dépendent pas uniquement de l’organisation particulière des sociétés. De l’Antigone de Sophocle (495-406 av. J.-C.), qui choisit de s’exposer à la mort plutôt que de respecter une loi lui paraissant inique et qui lui interdirait... -
PHILOSOPHIE (notions de base)
- Écrit par Philippe GRANAROLO
- 3 414 mots
– elle est et a toujours été inquiète, ce en quoi elle reste grecque, comme l’a si élégamment exprimé Sophocle dans le premier chœur de son Antigone, « Multiple est l’inquiétant, mais rien n’est plus inquiétant que l’homme qui se soulève en s’élevant » ;