Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

DESPLECHIN ARNAUD (1960- )

Bibliographie 

Y. Deschamps dir., « Arnaud Desplechin. L’intimité romanesque », Éclipses, n°52, 2013

J. Douchet, « D’où naît l’inquiétude », livret du DVD La Vie des morts et La Sentinelle, Cahiers du cinéma, Delta Films, Why Not Productions, 2003

R. Prédal, « Arnaud Desplechin et la représentation du tragique identitaire », Jeune cinéma, n° 293, décembre 2004.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

  • : critique et historien de cinéma, chargé de cours à l'université de Paris-VIII, directeur de collection aux Cahiers du cinéma

Classification

Média

Réalisateur de film, un rôle rêvé, Arnaud Desplechin - crédits : Encyclopædia Universalis France

Réalisateur de film, un rôle rêvé, Arnaud Desplechin

Autres références

  • ESTHER KAHN (A. Desplechin)

    • Écrit par
    • 965 mots

    Les films d'Arnaud Desplechin ont besoin de la fiction de l'autre comme d'une réalité, aussi tragique soit-elle. Cette fiction peut être fournie par le récit de l'écrivain, ou bien délivrée par la seule existence de cet autre. Son omniprésence suffit à provoquer le désir de l'enregistrement et...

  • ROIS ET REINE (A. Desplechin)

    • Écrit par
    • 1 038 mots

    Prix Louis-Delluc 2004, Rois et reine confirme le grand talent d'Arnaud Desplechin. On y voit s'affronter une reine et plusieurs rois. La reine, c'est Nora (Emmanuelle Devos), une jeune femme séduisante de trente-cinq ans, directrice d'une galerie d'art parisienne. Quant aux rois, ce sont les personnages...

  • TROIS SOUVENIRS DE MA JEUNESSE (A. Desplechin)

    • Écrit par
    • 1 088 mots

    C’est, en 1996, avec Comment je me suis disputé...(ma vie sexuelle)que le personnage de Paul Dédalus fait son apparition dans l’œuvre d’Arnaud Desplechin : figure hybride, qui emprunte tout à la fois au Stephen Dedalus imaginé par James Joyce, à l’Antoine Doinel de François Truffaut...

  • UN CONTE DE NOËL (A. Desplechin)

    • Écrit par
    • 1 103 mots

    On dirait à première vue l'archétype d'une grande famille bourgeoise (trois générations Vuillard, soit une bonne dizaine de personnages principaux) exceptionnellement réunie pour Noël autour de Junon, la mère (Catherine Deneuve), dont l'état de santé nécessite une greffe de la moelle osseuse. Mais c'est...

  • AMALRIC MATHIEU (1965- )

    • Écrit par
    • 1 169 mots

    En une vingtaine d'années, Mathieu Amalric est devenu l'acteur symbole de toute une génération du cinéma français, celle notamment d'Arnaud Desplechin et des frères Larrieu. Après de modestes débuts dans Les Favoris de la lune d'Otar Iosseliani (1984), il obtiendra le césar...

  • CINÉMA (Aspects généraux) - Histoire

    • Écrit par , et
    • 21 694 mots
    • 41 médias
    ...sentimentales (2000) de Jacques Chardonne, qui le conduit à abandonner l'évocation du petit monde parisien et à se consacrer à des formes nouvelles. Arnaud Desplechin, lui, s'est fait connaître avec le moyen-métrage La Vie des morts (1991), chronique familiale sensible et d'une grande inventivité...
  • FRANCE (Arts et culture) - Le cinéma

    • Écrit par et
    • 11 105 mots
    • 7 médias
    De son côté, Pascal Caucheteux, après avoir produit le moyen-métrage d’Arnaud DesplechinLa Vie des morts (1990), fonde Why Not Productions pour financer La Sentinelle (1992), premier long-métrage à gros budget (vingt millions de francs, treize semaines de tournage) de celui qui va devenir le...