BASHŌ (1644-1694)
Bibliographie
Bashō, Kohon Bashō zenshū (Œuvres complètes), éd. crit. 10 vol., Tōkyō, 1962 ; Journaux de voyage, P.U.F., 1976 ; Le Haïkaï selon Bashō, ibid., 1983 ; Le Manteau de pluie du singe, ibid., 1986 ; Jours d'hiver, ibid., 1987 ; La Calebasse, ibid., 1991 (ces œuvres sont traduites par R. Sieffert).
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Écrit par
- René SIEFFERT : professeur à l'Institut national des langues et civilisations orientales
Classification
Autres références
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BUSON YOSA (1716-1783)
- Écrit par Madeleine PAUL-DAVID
- 1 236 mots
...près d'Ōsaka, dans la province de Settsu, Buson quitta fort jeune son village natal pour se rendre à Edo, où il fut l'élève de Hayano Hajin, disciple de Bashō et renommé pour ses haiku (poèmes en 17 syllabes). En 1742, à la mort de son maître, il abandonna la capitale shōgunale pour mener une vie d'errance... -
JAPON (Arts et culture) - La littérature
- Écrit par Jean-Jacques ORIGAS , Cécile SAKAI et René SIEFFERT
- 22 458 mots
- 2 médias
Matsuo Bashō (1644-1694), issu d'une famille de guerriers, libéré de ses obligations féodales à vingt-deux ans par la mort de son maître, vécut en moine du zen sans avoir fait profession au sens strict. En 1681, il se retirait dans un faubourg d'Edo, en son « ermitage au bananier » (Bashō-an) d'où il... -
LA SENTE ÉTROITE DU BOUT-DU-MONDE, Bashō - Fiche de lecture
- Écrit par Florence BRAUNSTEIN
- 856 mots
Matsuo Munefusa, dit Bashō (1644-1694), est considéré comme l'un des plus grands parmi les poètes japonais. Son œuvre excelle dans la maîtrise du haikai-renga, ou « poème libre en chaîne ». Il donne ses lettres de noblesse au haiku, poème en dix-sept syllabes, mais surpasse son art...