CANYONS SOUS-MARINS
Bibliographie
J. E. Andrews, F. P. Shepard & R. J. Hurley, « Great Bahama Canyon », in Geol. Soc. Am. Bull, vol. LXXXI, pp. 1061-1078, 1970
G. Boillot, Géologie des marges continentales, Masson, Paris, 3e éd. 1990
Cymor(groupe), « La Marge continentale armoricaine, résultats d'observation en submersible et de dragages dans le canyon Shamrock », in C. R. Acad. Sci. Paris, vol. CCXCII, no 2, pp. 741-748, 1981
B. Damotte, J. Debyser, L. Montadert & J. R. Delteil, « Nouvelles Données structurelles sur le golfe de Gascogne obtenues par réflexion “Flexotir” », in Revue de l'Institut français du pétrole, vol. XXIV, no 9, pp. 1061-1072, 1969
Estocade (groupe), « Étude par submersible des canyons des Stoechades et de Saint-Tropez », in C.R. Acad. sci. Paris, D, t. CCLXXXIV, pp. 1631-1634, 1977 ; « Messinian subaerial erosion of the Stoechades and Saint-Tropez canyons : a submersible study », in Marine Geology, vol. XXVII, pp. 247-269, 1978
M. Gennesseaux, « Prospection photographique des canyons sous-marins du Var et du Paillon (Alpes-Maritimes) au moyen de la troïka », in Rev. Géogr. phys. & Géol. dyn., vol. VIII, fasc. 1, pp. 3-38, 1966
L. Glangeaud, G. Bellaiche, M. Gennesseaux & G. Pautot, « Phénomènes pelliculaires et épidermiques de Rech Bourcart (golfe du Lion) et de la mer Hespérienne », in C.R. Acad. Sci. Paris, D, t. CCLXVII, pp. 1079-1083, 1968
L. Pastouret, P. Beuzart & S. Monti, « Présentation de cartes bathymétriques de la marge continentale armoricaine et celte, golfe de Gascogne », in Bull. Soc. géol. France, 7e sér., t. XXIV, no 2, pp. 407-411, 1982
F. P. Shepard, « Submarine canyons : multiple causes and long-time persistence », in Amer. Ass. Petrol. Geol. Bull., vol. LXV, no 6, pp. 1062-1077, 1981
F. P. Shepard & R. F. Dill, Submarine Canyons and OtherSeaValleys, Rand McNally, Chicago, 1966
F. P. Shepard & N. F. Marshall, « Currents along the floor of submarine canyons », in Amer. Ass. Petrol. Geol. Bull., vol. XVII, no 2, pp. 244-264, 1973
D. J. Stanley & G. Kelling, Sedimentation in Submarine Canyons, Fans and Trenches, Dowden, Hutchinson & Ross, Stroudsburg (Pa.), 1978
J. R. Vanney, G. Bellaiche, F. Coumes & F. Irr, « Types de modelés observés par submersible dans les canyons méditerranéens au cours de la campagne Cyaligure », in C. R. Acad. Sci. Paris, t. CCXCII, no 2, pp. 735-738, 1974.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Maurice GENNESSEAUX : maître de conférences à l'université de Paris-VI-Pierre-et-Marie-Curie
Classification
Médias
Autres références
-
BOURCART JACQUES (1891-1965)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 589 mots
Naturaliste de formation, Jacques Bourcart consacra une grande partie de sa vie à la géologie classique en y faisant preuve d'un esprit novateur et anticonformiste. Au cours de ses recherches sur le Quaternaire du Maroc, il aborda les problèmes littoraux et écrivit une œuvre d'une profonde réflexion...
-
DELTAS
- Écrit par Gilbert BELLAICHE
- 3 794 mots
- 2 médias
...déséquilibre gravitaire, étaient périodiquement entraînées, sous forme de courants de turbidité, le long du talus continental, le plus souvent par l'intermédiaire des canyons sous-marins, jusqu'au pied de la marge continentale, où elles s'accumulaient sous forme d'édifices de type deltaïque. -
GASCOGNE GOLFE DE
- Écrit par Jean-Pierre PINOT
- 1 363 mots
- 2 médias
...les sables, mieux triés, contiennent une part plus importante d'éléments marins (glauconie et débris coquilliers). Ce plateau est entaillé par quelques canyons dont les têtes remontent presque jusqu'au littoral, à la faveur d'accidents tectoniques dans l'intervalle desquels l'escarpement continental, à... -
MARGES CONTINENTALES
- Écrit par Gilbert BOILLOT
- 4 329 mots
- 9 médias
...entre 200 et 3 000 ou 4 000 mètres de profondeur ; sa déclivité est de 7 p. 100 en moyenne. Elle est entamée, souvent profondément, par des vallées ou des canyons sous-marins, par où transitent les sédiments. Enfin, le glacis continental est situé en eau profonde (de 3 000 à 5 000 m), à cheval sur la croûte... - Afficher les 7 références