CONFRÉRIES MUSULMANES
Bibliographie
O. Depont & X. Coppolani, Les Confréries religieuses musulmanes, Alger, 1897
A. Le Chatelier, Les Confréries musulmanes du Hedjaz, Paris, 1887
R. Le Tourneau, « Darkāwa », in Encyclopédie de l'Islam, Leyde-Paris, 1961
Margoliouth, « Tidjānīya » et « Rahmanīya », ibid., 1930-1936
L. Massignon, « Tarīka », ibid., 1929.
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Écrit par
- Charles-Robert AGERON : professeur émérite à l'université de Paris-XII-Val-de-Marne
Classification
Autres références
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AFRIQUE NOIRE (Culture et société) - Religions
- Écrit par Marc PIAULT
- 9 619 mots
- 1 média
...confréries. Les fidèles se réunissent et vivent autour d'un personnage savant et saint qui les instruit et maintient une collectivité pieuse de subsistance. Les confréries ont joué un rôle comparable à celui des sociétés initiatiques traditionnelles. Outre les mouvements classiques de l'islam, Qadriya (née... -
ALAOUITES ou NUṢAYRĪS
- Écrit par Jaafar AL-KANGE
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La secte shī‘ite des Nuṣayrīs (An-Nuṣayriyya), qu'on appelle plus couramment Alaouites (Alawites), représente environ 11 p. 100 de la population syrienne. Elle est implantée principalement dans la région montagneuse du djebel Anṣariyya (anciennement as-Summāk), au nord de l'est côtier du pays....
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ALGÉRIE
- Écrit par Charles-Robert AGERON , Encyclopædia Universalis , Sid-Ahmed SOUIAH , Benjamin STORA et Pierre VERMEREN
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Pendant les trois siècles de la domination turque, le pays fut islamisé en profondeur par des sociétés mystiques que les Occidentaux ont appelées confréries (en arabe tariqa : voie) et par des personnages religieux, marabouts et chorfa. Ces santons isolés, ces cheikhs de confréries ou de confédérations... -
ANSARS ou ANÇĀRS
- Écrit par Yves THORAVAL
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