Dixit Dominus, HAENDEL (Georg Friedrich)
Forme
Au XVIIe siècle, le motet change de sens et son utilisation se restreint à l'office du salut (ou bénédiction) du Saint-Sacrement. Il se divise alors en petit motet (pour un à trois solistes et orgue) et grand motet (ou motet à grand chœur), généralement sur des textes tirés des psaumes ou des cantiques et dont chaque verset est traité séparément en fonction de l'alternance entre solos, ensemble et chœur, avec accompagnement d'orgue ou d'orchestre.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Alain FÉRON : compositeur, critique, musicologue, producteur de radio