EICHMANN À JÉRUSALEM, Hannah Arendt Fiche de lecture
Bibliographie
H. Arendt, « Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal », trad. A. Guérin, in Les Origines du totalitarisme, P. Bouretz éd., coll. Quarto, Gallimard, Paris, 2002 ;La Vie de l’esprit, Paris, Presses universitaires de France, 2005 ; Juger. Sur la philosophie politique de Kant, trad. M. Revault d’Allonnes, Seuil, Paris, 1991.
Études
M.-I. Brudny & J.-M. Winkler dir., Destins de « la banalité du mal », Éd. de l’Éclat, Paris, 2011
V. Lefebve, Politique des limites, limites de la politique. La place du droit dans la pensée de Hannah Arendt, coll. Philosophie politique : généalogies et actualités, Éd. de l’université de Bruxelles, 2016
M. Leibovici et A. Mréjen dir., HannahArendt, Les cahiers de l’Herne, Paris, 2021
M. Leibovici et A.-M. Roviello, Le Pervertissement totalitaire. La banalité du mal selon Hannah Arendt, Kimé, Paris, 2017.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Vincent LEFEBVE : docteur en sciences juridiques, chercheur au Centre de recherche et d'information socio-politiques, Bruxelles, collaborateur scientifique au Centre de droit public et social de l'université libre de Bruxelles (Belgique)
Classification
Autres références
-
ARENDT HANNAH (1906-1975)
- Écrit par Sylvie COURTINE-DENAMY
- 1 790 mots
- 1 média
...l'angle du travail, de l'œuvre et de l'action. « Les hommes qui ne pensent pas sont comme des somnambules » : c'est ce dont allait prendre conscience Hannah Arendt lorsqu' elle couvrit en 1961, à sa demande, le procès Eichmann pour le New Yorker, estimant qu'elle devait cela à son passé. Elle...