EITOKU KANŌ (1543-1591)
Bibliographie
Hiroshi M., « Eitoku Kanō and a Pair of Folding Screen Pictures of Rakuchū-Rakugai in the Possession of the Uesugi Family », in Kokka, no 862, Tōkyō, janv. 1964
Ijima I., « Kai-zū byōbu koseki kō » (The Origin of the Screen of Cypress Trees by Eitoku), in Museum, no 163, Tōkyō, 1964
Sekai Bijutsu Zenshū, Nihon 8, Momoyama Jidai, éd. Kadokawa Shōten, Tōkyō, 1965
Takeo Tsuneo, Eitoku Kanō, trad. et adapt. H. Mack Horton et C. Kaputa, Kodanska Intern. Ltd., Japan Arts Library no 3, Tōkyō-New York-San Francisco, 1978
The Great Japan Exhibition Art of the Edo Period, Royal Academy of Arts, 1981-1982.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Madeleine PAUL-DAVID : ancien maître de recherche au CNRS, professeure honoraire à l'École du Louvre, chargée de mission au Musée national des arts asiatiques-Guimet
Classification
Autres références
-
JAPON (Arts et culture) - Les arts
- Écrit par François BERTHIER , François CHASLIN , Encyclopædia Universalis , Nicolas FIÉVÉ , Anne GOSSOT , Chantal KOZYREFF , Hervé LE GOFF , Françoise LEVAILLANT , Daisy LION-GOLDSCHMIDT , Shiori NAKAMA et Madeleine PAUL-DAVID
- 56 170 mots
- 35 médias
...la présence des Portugais, porteurs du message de l'Occident. Pour décorer son château fort d'Azuchi au bord du lac Biwa, Nobunaga fait appel à Kanō Eitoku, descendant des peintres de l'atelier des Ashikaga. L'artiste entoure d'un cerne épais les vives couleurs de ses compositions très variées....