ESCHYLE (env. 525-456 av. J.-C.)
Bibliographie
Œuvres d'Eschyle
Parmi les œuvres conservées, on ne connaît avec précision que deux dates : celle des Perses (472), et celle des trois tragédies constituant L'Orestie (458). Depuis la découverte d'un document nouveau, on a renoncé à penser que Les Suppliantes représentaient la pièce conservée la plus ancienne. eschyle, éditions commentées des diverses pièces en néerlandais et en allemand, Groningue, 1928-1952 ; texte et traduction par P. Mazon, 2 vol., coll. des Universités de France, Paris, 1949
Agamemnon, par E. Fraenkel, 3 vol., Oxford, 1950 ; par Denniston et Page, Oxford, 1957 ; par J. Bollack et Judet de La Combe, 2 vol., Lille, 1981-1982
Les Tragiques grecs, trad. R. Dreyfus, coll. La Pléiade, Paris, 1967.
Études
M. Croiset, Eschyle. Étude sur l'invention dramatique dans son théâtre, Paris, 1928
M. Delcourt, Eschyle, Paris, 1934
G. Italie, Index Aeschyleus, Leyde, 1955
G. Méautis, Eschyle et la trilogie, Paris, 1936
G. Murray, Aeschylus, the Creator of Tragedy, Oxford, 1940
K. Reinhardt, Aischylos als Regisseur und Theologe, Berne, 1949 (trad. franç., éd. de Minuit, 1972)
J. de Romilly, La Crainte et l'angoisse dans le théâtre d'Eschyle, Paris, 1958
B. Snell, Aischylos und das Handeln im Drama, Leipzig, 1928
O. Taplin, The Stagecraft of Aeschylus, Oxford, 1977.
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Écrit par
- Jacqueline de ROMILLY : ancienne élève de l'École normale supérieure, membre de l'Institut, professeur au Collège de France
Classification
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Autres références
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L'ORESTIE, Eschyle - Fiche de lecture
- Écrit par Florence BRAUNSTEIN
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Unique trilogie d'Eschyle (env. 525-456 av. J.-C.) à nous être parvenue dans son intégralité, L'Orestie est composée d'Agamemnon, des Choéphores et des Euménides, soit les trois temps du crime, de la vengeance et de l'expiation. Elle fut représentée à Athènes en 458 avant J.-C.
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CULTURE - Culture et civilisation
- Écrit par Pierre KAUFMANN
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Or il est remarquable que ce terme d'agalma se retrouve dans Les Euménides d'Eschyle pour désigner précisément le rassemblement (συνοικία) des villages en communautés. La cité, la πόλις, est ϕρούριον θε̃ων (citadelle des dieux), elle est, poursuit Eschyle, ἄγαλμα ῥυσίϐωμον Ἑλλάνων... -
DELPHES
- Écrit par Bernard HOLTZMANN et Giulia SISSA
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EURIPIDE (env. 480-406 av. J.-C.)
- Écrit par Édouard DELEBECQUE
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...manière de », qu'il manie avec une aisance merveilleuse par son aptitude à discerner les traits marquants de l'auteur et de l'homme, le met en balance avec Eschyle. Comme il cherche le poète le plus capable de sauver par son œuvre la cité en péril, la balance penche finalement en faveur d'Eschyle ; l'école... -
GRÈCE ANTIQUE (Civilisation) - La religion grecque
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