FIN DE PARTIE, Samuel Beckett Fiche de lecture
Bibliographie
S. Beckett, Fin de partie, Éditions de Minuit, Paris, 1957.
Études
M. Alphant & N. Léger dir., Objet Beckett, Centre Pompidou-IMEC, 2007
T. Bishop et R. Federman, Samuel Beckett, Cahiers de L’Herne, Paris, 1976
L. Janvier, Beckett par lui-même, Seuil, Paris, 1969
F. Noudelmann, Beckett ou la scène du pire, Honoré Champion, Paris, 1998 rééd. 2010.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Guy BELZANE : professeur agrégé de lettres
Classification
Média
Autres références
-
FIN DE PARTIE (mise en scène d'A. Françon)
- Écrit par Didier MÉREUZE
- 758 mots
« C'est laid, c'est sale, c'est désolant, c'est malsain, c'est vide et misérable. » Ainsi se plaignait le célèbre critique Jean-Jacques Gautier dans les colonnes du Figaro, quelques jours après la première en France de Fin de partie. S'en prenant à Beckett, qui «...
-
BECKETT SAMUEL (1906-1989)
- Écrit par Jean-Pierre SARRAZAC
- 4 808 mots
- 4 médias
...voix fêlées », etc., mais aussi les enfouissements dans la terre (Oh les beaux jours) ou dans des jarres (Comédie, 1966), les amputations, les boiteries (Clov dans Fin de partie), mais encore le recours à des accessoires mettant le corps crûment à l'étal, tels la poubelle de Nagg et Nell ou le fauteuil... -
LITTÉRATURE FRANÇAISE DU XXe SIÈCLE
- Écrit par Dominique RABATÉ
- 7 278 mots
- 13 médias
...l’action avec En attendant Godot (1953), dont les deux actes se répètent à vide, autour de quatre personnages clownesques qui parlent pour tuer le temps. Fin de partie (1957) radicalise encore, en un seul acte sans vrai début ni vraie fin, le sentiment d’un monde agonisant. Entre comique et tragique...