FORD JOHN (1894-1973)
Filmographie sélective
Le Ranch Diavolo(Straight Shooting, 1917) ; Le Cheval de fer (The Iron Horse, 1924) ; Trois Sublimes Canailles (Three Bad Men, 1926) ; La Patrouille perdue (The LostPatrol, 1934) ; Toute la ville en parle (The WholeTown'sTalking, 1935) ; Je n'ai pas tué Lincoln (The Prisoner of Shark Island, 1936) ; Marie Stuart (Mary of Scotland, 1936) ; La Chevauchée fantastique (Stagecoach, 1939) ; Les Raisons de la colère (The Grapes of Wrath, 1940) ; La Poursuite infernale (My Darling Clementine, 1946) ; Dieu est mort (The Fugitive, 1947) ; Le Massacre de FortApache (Fort Apache , 1948) ; Le Fils du désert (Three Godfathers, 1948) ; La Charge héroïque (SheWore a Yellow Ribbon, 1949) ; Le Convoi des braves (Wagon Master, 1950) ; Rio Grande, 1950 ; L'Homme tranquille (The Quiet Man, 1952) ; Le soleil brille pour tout le monde (The Sun Shines Bright, 1953) ; Mogambo, 1953 ; La Révélation de l'année (Rookie of the Year, 1955) ; La Prisonnière du désert (The Searchers, 1956) ; L'aigle vole au soleil (The Wings of Eagles, 1957) ; Les Cavaliers (The Horse Soldiers, 1959) ; Le Sergent noir (SergeantRutledge, 1960) ; Les Deux Cavaliers (Two Rode Together, 1961) ; L'Homme qui tua Liberty Valance(The Man Who Shot Liberty Valance, 1962) ; La Conquête de l'Ouest (How the West Was Won, 1962) ; Les Cheyennes (Cheyenne Autumn, 1964) ; Frontière chinoise (Seven Women, 1966).
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Écrit par
- Jean-Louis LEUTRAT : professeur à l'université de Paris-III-Sorbonne nouvelle
Classification
Médias
Autres références
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L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE, film de John Ford
- Écrit par Jacques AUMONT
- 959 mots
Si l'on excepte un épisode de La Conquête de l'Ouest (How the West Was Won, 1963), tourné peu après par Ford, c'est le dernier western d'un homme qui en avait réalisé un grand nombre, au cours d'une quarantaine d'années. Le titre, délibérément sans originalité, se calque sur un...
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L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE (J. Ford), en bref
- Écrit par Joël MAGNY
- 226 mots
John Ford (1894-1973) fut l'un des artisans majeurs de la mythologie du Far West, avec des films comme Le Cheval de fer (1924), La Chevauchée fantastique (1939) ou La Poursuite infernale (1946). Dans L'Homme qui tua Liberty Valance (1962), il reprend la thématique qui fonde le western...
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CARRADINE JOHN (1906-1988)
- Écrit par André-Charles COHEN
- 488 mots
Certains réalisateurs souhaitent constituer, à l'instar d'une troupe de répertoire théâtral, une famille d'acteurs qui les accompagnera tout au long de leur carrière cinématographique. Aux États-Unis, John Ford engageait ainsi, aux côtés des vedettes, des acteurs assez typés,...
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CINÉMA (Aspects généraux) - Histoire
- Écrit par Marc CERISUELO , Jean COLLET et Claude-Jean PHILIPPE
- 21 702 mots
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Un autre poète s'affirme, l'IrlandaisJohn Ford, qui bénéficie lui aussi d'une longue expérience de cinéaste du muet. Il réalise en 1934 La Patrouille perdue (The LostPatrol) et en 1935 Le Mouchard (The Informer), ses films les plus célèbres, mais qui ne doivent pas faire oublier Je n'ai... -
CINÉMA (Réalisation d'un film) - Mise en scène
- Écrit par Joël MAGNY
- 4 777 mots
- 10 médias
...pour éviter que leur style de mise en scène, une fois imposé, ne soit détruit par les opérations ultérieures, par les ciseaux du monteur en particulier. John Ford choisissait de tourner des plans longs contenant une action complète : le monteur, même le plus ingénieux, ne pouvait que les monter l'un à... -
ELLIPSE, cinéma
- Écrit par Jean-Louis COMOLLI
- 433 mots
Comme en littérature, l'ellipse est, au cinéma, une figure narrative consistant à supprimer du récit un certain nombre d'éléments, tels que plans, scènes, etc., faisant partie du déroulement logique de la fiction, mais jugés inessentiels à sa compréhension. L'ellipse est classiquement utilisée...
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