FORD JOHN (1894-1973)
Bibliographie
Cahiers du cinéma, no spéc. Ford, P. Rollet dir., 1990
J.-L. Bourget, John Ford, Rivages, 1990
T. Gallagher, John Ford. The Man and His Films, University of California Press,1986 ; éd. française John Ford. L’homme et sesfilms, trad. J.-P. Coursodon, P. Soulat et S. Suchet, Capricci, Nantes, 2014
C. Gornet, L’Écriture de l’histoire au miroir du cinéma. Les westerns de John Ford,Classiques Garnier, Paris, 2017
J.-L. Leutrat, John Ford, « La Prisonnière du désert ».Une tapisserie navajo,Adam Biro, Paris, 1990 ; Le western : quand la légende devient réalité, coll. Découvertes, Gallimard, Paris, 1995 ; « L’Homme qui tua Liberty Valance ». John Ford, Nathan, Paris, 1995
S. Liandrat-Guigues & J.-L. Leutratdir., Les Cartes de l’Ouest. Un genre cinématographique : le western,Armand Colin, Paris, 1990.
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Écrit par
- Jean-Louis LEUTRAT : professeur à l'université de Paris-III-Sorbonne nouvelle
Classification
Médias
Autres références
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L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE, film de John Ford
- Écrit par Jacques AUMONT
- 959 mots
Si l'on excepte un épisode de La Conquête de l'Ouest (How the West Was Won, 1963), tourné peu après par Ford, c'est le dernier western d'un homme qui en avait réalisé un grand nombre, au cours d'une quarantaine d'années. Le titre, délibérément sans originalité, se calque sur un...
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L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE (J. Ford), en bref
- Écrit par Joël MAGNY
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John Ford (1894-1973) fut l'un des artisans majeurs de la mythologie du Far West, avec des films comme Le Cheval de fer (1924), La Chevauchée fantastique (1939) ou La Poursuite infernale (1946). Dans L'Homme qui tua Liberty Valance (1962), il reprend la thématique qui fonde le western...
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CARRADINE JOHN (1906-1988)
- Écrit par André-Charles COHEN
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Certains réalisateurs souhaitent constituer, à l'instar d'une troupe de répertoire théâtral, une famille d'acteurs qui les accompagnera tout au long de leur carrière cinématographique. Aux États-Unis, John Ford engageait ainsi, aux côtés des vedettes, des acteurs assez typés,...
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CINÉMA (Aspects généraux) - Histoire
- Écrit par Marc CERISUELO , Jean COLLET et Claude-Jean PHILIPPE
- 21 702 mots
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Un autre poète s'affirme, l'IrlandaisJohn Ford, qui bénéficie lui aussi d'une longue expérience de cinéaste du muet. Il réalise en 1934 La Patrouille perdue (The LostPatrol) et en 1935 Le Mouchard (The Informer), ses films les plus célèbres, mais qui ne doivent pas faire oublier Je n'ai... -
CINÉMA (Réalisation d'un film) - Mise en scène
- Écrit par Joël MAGNY
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...pour éviter que leur style de mise en scène, une fois imposé, ne soit détruit par les opérations ultérieures, par les ciseaux du monteur en particulier. John Ford choisissait de tourner des plans longs contenant une action complète : le monteur, même le plus ingénieux, ne pouvait que les monter l'un à... -
ELLIPSE, cinéma
- Écrit par Jean-Louis COMOLLI
- 433 mots
Comme en littérature, l'ellipse est, au cinéma, une figure narrative consistant à supprimer du récit un certain nombre d'éléments, tels que plans, scènes, etc., faisant partie du déroulement logique de la fiction, mais jugés inessentiels à sa compréhension. L'ellipse est classiquement utilisée...
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