GOSHUN (1752-1811)
Bibliographie
M. Coyaud, L'Empire du regard. Mille ans de peinture japonaise, Phébus, Paris, 1981
Hitomi S., « Soshun Shijo-ha », in Bijutsu Seinen Kaishi, no 14, Kyōto, 1937
Suzuki S., « Ōkyo to Goshun » (Ōkyo et Goshun), in Nihon no bijutsu, no 39, Shibundō, Tōkyō, 1970
Tsukiboshi N., « Goshun », in Tōyo Bijutsu Bunko, no 15, Tōkyō, 1940
Yamakawa T., « Ōkyo
Goshun », in Nihon bijutsu ega zenshu, vol. XXII, Shueisha, Tōkyō, 1977
Yoshizawa C. & Yamakawa T., « Nanga to Shaseiga », (Les Écoles Nanga et Shaseiga) in Genshoku Nihon no Bijutsu, vol. XVIII, Tōkyō, 1969.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Chantal KOZYREFF : conservatrice des collections Japon, Chine et Corée aux Musées royaux d'art et d'histoire, Bruxelles, gestionnaire des musées d'Extrême-Orient
Classification
Autres références
-
JAPON (Arts et culture) - Les arts
- Écrit par François BERTHIER , François CHASLIN , Encyclopædia Universalis , Nicolas FIÉVÉ , Anne GOSSOT , Chantal KOZYREFF , Hervé LE GOFF , Françoise LEVAILLANT , Daisy LION-GOLDSCHMIDT , Shiori NAKAMA et Madeleine PAUL-DAVID
- 56 170 mots
- 35 médias
...fort appliqué à user des techniques étrangères, mais, dans ses grandes compositions, il revient à un style plus décoratif. Fondateur de l'école Shijō, Goshun (1752-1811), formé par Buson et, comme ce dernier, grand amateur de haikai, subit l'influence d'Ōkyo mais trahit un lyrisme plus profond....