KADARÉ ISMAÏL (1936-2024)
Bibliographie
La quasi-totalité de l'œuvre d'Ismail Kadaré traduite en français est éditée chez Fayard.
Études
E. Faye, Ismail Kadaré, Prométhée porte-feu, José Corti, Paris, 1991
I. Kadaré, Dialogue avec Alain Bosquet, Fayard, Paris, 1995
I. Kadaré, Entretiens avec Eric Faye, José Corti, Paris, 1991
I. Kadaré, Temps barbares, entretiens avec D. Fernandez-Récatala, Archipel, Paris, 1999
I. Kadaré & G. de Rapper, L’Albanie entre la légende et l’histoire, Actes sud, Arles, 2004
Ismail Kadaré, Gardien de mémoire, colloque, Association des écrivains de langue française, SEPEG International, Paris, 1993
Revue L'Œil de bœuf, numéro spécial sur Ismail Kadaré, Paris, mai 2000.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Jean-Paul CHAMPSEIX : professeur agrégé, docteur en lettres modernes, habilité à diriger des recherches en littératures comparées
Classification
Média
Autres références
-
LA POUPÉE (I. Kadaré) - Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Paul CHAMPSEIX
- 996 mots
- 1 média
Ismaïl Kadaré a souvent parlé de lui-même. Il a transposé dans Chronique de pierre son enfance et dans Le Crépuscule des dieux de la steppe ses années d'études à l'institut Gorki de Moscou. Toutefois, il parle davantage des situations – la guerre et la nocivité du réalisme socialiste...
-
ALBANIE
- Écrit par Anne-Marie AUTISSIER , Odile DANIEL , Encyclopædia Universalis et Christian GUT
- 22 072 mots
- 9 médias
...construire l'Albanie nouvelle. La littérature devient un instrument de propagande pour le parti, aux prescriptions duquel tout écrivain se doit d'obéir. Ismaïl Kadaré, né en 1936, émerge comme une figure qui a pu sauvegarder la création littéraire à travers maints subterfuges et symboles que les censeurs... -
LE CRÉPUSCULE DES DIEUX DE LA STEPPE, Ismaïl Kadaré - Fiche de lecture
- Écrit par Jacques JOUET
- 1 210 mots
- 1 média
« Chez nous, la parole donnée, la bessa, est quelque chose d'absolu, et la violer est la plus grave des ignominies [...]. On dit que même le chêne, s'il trahit la confiance qu'on lui a faite, voit ses branches se dessécher », affirme l'écrivain albanais Ismaïl Kadaré...