Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

STEWART JACKIE (1939- )

Jackie Stewart - crédits : Victor Blackman/ Daily Express/ Hulton Archive/ Getty Images

Jackie Stewart

Gentleman-driver, l'Écossais Jackie Stewart, né le 11 juin 1939 à Dumbarton, a bâti, au volant de B.RM., Matra-Ford ou Tyrell-Ford, un splendide palmarès. Troisième du Championnat du monde de formule 1, derrière Jim Clark et Graham Hill, en 1965, deuxième en 1968, devancé par Graham Hill, il obtient son premier titre mondial en 1969, précédant Jacky Ickx. Si l'Autrichien Jochen Rindt, qui s'est tué le 5 septembre à Monza, obtient la couronne en 1970 à titre posthume, l'Écossais retrouve son bien en 1971.

Jim Clark - crédits : Keystone/ Hulton Archive/ Getty Images

Jim Clark

Graham Hill - crédits : Keystone/ Hulton Archive/ Getty Images

Graham Hill

Deuxième derrière le Brésilien Emerson Fittipaldi en 1972, Jackie Stewart conquiert un troisième titre mondial en 1973. Mais, marqué par la mort, le 6 octobre à Watkins Glen, de son coéquipier François Cevert, il se retire des compétitions après s'être imposé à vingt-sept reprises en grand prix. Ce record tiendra jusqu'au 20 septembre 1987, jour où Alain Prost remportera, à Estoril (Portugal), son vingt-huitième succès.

En 1997, Jackie Stewart monte sa propre écurie de formule 1, épaulé par son fils Paul. Il s'attache les services du talentueux pilote brésilien Rubens Barrichello. En 2000, son écurie est rachetée par Ford, les monoplaces disputant alors les grands prix sous la marque Jaguar.

— Pierre LAGRUE

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

  • : historien du sport, membre de l'Association des écrivains sportifs

Classification

Médias

Jackie Stewart - crédits : Victor Blackman/ Daily Express/ Hulton Archive/ Getty Images

Jackie Stewart

Jim Clark - crédits : Keystone/ Hulton Archive/ Getty Images

Jim Clark

Graham Hill - crédits : Keystone/ Hulton Archive/ Getty Images

Graham Hill