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HADAMARD JACQUES (1865-1963)

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Bibliographie

J. Hadamard, Œuvres, 4 vol., CNRS, Paris, 1968 ; La Théorie des équations aux dérivées partielles, Éditions scientifiques, Pékin, 1964 ; Le Problème de Cauchy et les équations aux dérivées partielles linéaires hyperboliques, Paris, Hermann, 1932 ; Essai sur la psychologie de l'invention dans le domaine mathématique (An Essay on the Psychology of Inventing in the Mathematical Field, 1954), trad. Jacqueline Hadamard, Gauthier-Villars, Paris, 1975 ; Leçons de géométrie, 2 vol., J. Gabay, Sceaux, 1988.

P. Levy, S. Mandelbrojt, B. Malgrange & P. Malliavin, La Vie et l'œuvre de Jacques Hadamard, L'enseignement mathématique, Genève, 1967

S. Mandelbrojt, « Hadamard », in Dictionary of Scientific Biography, vol. VI, Scribner, New York, 1981.

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Écrit par

  • : maître de conférences honoraire à l'université de Paris-VII

Classification

Autres références

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    • Écrit par
    • 5 367 mots
    Les limitations du théorème de Cauchy-Kovalevskaïa ont été mises en lumière de façon particulièrement claire par Hadamard dans ses Leçons sur le problème de Cauchy (publiées à Yale en 1923 et à Paris en 1932). Elles portent sur trois points liés entre eux qui rendent le résultat inopérant...
  • MÉTHODE

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    • 9 066 mots
    ...Poincaré, se moquant de la logistique, évoque les placements de père de famille, qui sont sûrs et ne rapportent que des dividendes négligeables. Poincaré, Hadamard s'intéressent de préférence à la psychologie de l'invention. L'idée qu'une entité artificielle – la prétendue méthode – s'interposerait...
  • NOMBRES (THÉORIE DES) - Théorie analytique

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    • 1 média
    Le théorème des nombres premiers établit (46) ; démontré d'abord en 1896 par J. Hadamard et C. de La Vallée-Poussin indépendamment, il a été par la suite amélioré par divers mathématiciens et l'on peut maintenant montrer que :
    c > 0 est une constante. Si l'hypothèse de Riemann...
  • WEIERSTRASS KARL THEODOR WILHELM (1815-1897)

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    • 2 229 mots
    En 1896, J. Hadamard montra que, si ρ est fini, g est un polynôme de degré ≤ ρ ; c'est donc une constante si ρ < 1 et, dans ce cas, la factorisation de f se réduit à :
    où A est une constante.