OFFENBACH JACQUES (1819-1880)
Bibliographie
J. Brindejont-Offenbach, Offenbach, mon grand-père, Plon, Paris, 1940
A. Decaux, Offenbach, roi du second Empire, Perrin, Paris, 1975
C. Dufresne, Jacques Offenbach, ou la Gaîté parisienne, Critérion, Paris, 1992 ; Hortense Schneider, la divine scandaleuse, Perrin, 1993
S. Kracauer, Jacques Offenbach, ou le Secret du second Empire, Grasset, Paris, 1937
J. Offenbach, Notes d'un musicien en voyage, Paris, 1877 ; rééd. fac-sim., La Flûte de pan, Paris, 1979
A. Pâris, « Jacques Offenbach », in Universalia 1981, Encyclopædia Universalis
R. Pourvoyeur, Offenbach, Seuil, Paris, 1994
D. Rissin, Offenbach, ou le Rire en musique, Fayard, Paris, 1980
L. Schneider, Offenbach, Perrin, 1923.
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Écrit par
- Alain PÂRIS : chef d'orchestre, musicologue, producteur à Radio-France
Classification
Média
Autres références
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LA BELLE HÉLÈNE (J. Offenbach)
- Écrit par Timothée PICARD
- 296 mots
Celle que l'on considère comme la reine des opérettes françaises – bien qu'il s'agisse en réalité d'un opéra bouffe – est créée le 17 décembre 1864 au Théâtre des Variétés, à Paris. Offenbach a profité de la liberté des théâtres – un décret de Napoléon III...
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FELSENSTEIN WALTER (1901-1975)
- Écrit par Claude VAUGIER
- 2 238 mots
- 1 média
...soin de monter des ouvrages contemporains, même s'il met en scène Die Kluge de Carl Orff (1948), et L'Amour des trois oranges de Prokofiev (1968). Pour sa part, il s'attache plus volontiers à Offenbach (Orphée aux enfers, 1948 ; La Vie parisienne, 1951 ; Les Contes d'Hoffmann, 1958 ;... -
MEILHAC HENRI (1831-1897)
- Écrit par Hélène LACAS
- 400 mots
Après des études à Louis-le-Grand, Henri Meilhac est employé dans une librairie. Il acquiert vite une réputation d'humoriste doué d'un esprit caustique et d'une imagination quelque peu fantasque, grâce à des dessins et articles parus au Journal pour rire où il collabore...
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OPÉRETTE
- Écrit par Sylvie FÉVRIER
- 2 968 mots
- 1 média
Les idées sont dans l'air ; en 1855, Offenbach lance : « Je me dis que l'opéra-comique cessait d'être l'opéra-comique ; que la musique vraiment bouffe, fine, spirituelle, que la musique qui vit s'oubliait peu à peu, et que les compositeurs travaillant pour la salle Favart ne faisaient plus que de petits... -
Orphée aux enfers, OFFENBACH (Jacques)
- Écrit par Alain FÉRON
- 541 mots
Le nom d'Offenbach demeure attaché à Paris et aux festivités du second Empire. En 1855, cet Allemand d'origine mais Français d'adoption et de cœur prend la direction d'un théâtre, qu'il baptise Bouffes-Parisiens. C'est là qu'il va connaître la consécration avec une série d'opérettes et d'opéras...