STERNBERG JOSEF VON (1894-1969)
Bibliographie
J. von Sternberg, De Vienne à Shanghai (Fun in a Chinese Laundry, MacMillan, New York, 1965), trad. M. Miech-Chatenay, Flammarion, Paris, 1989. P. Mérigeau, Josef von Sternberg, E.D.I.L.I.G., Paris, 1983
M. Oms, Josef von Sternberg, Paris, 1970
M. G. Weinberg, Josef von Sternberg, Paris, 1966. Cahiers du cinéma, no 16, 1951 ; nos 63, 64 et 66, 1956 ; no 168, 1965
Positif, nos 37 et 38, 1961 ; no 75, 1966 ; no 82, 1967
Cinéma 61, no 54.
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Écrit par
- Victor BACHY : professeur à l'université de Louvain
Classification
Médias
Josef von Sternberg et Marlene Dietrich
Hulton Archive/ Getty Images
Shanghai Express, J. von Sternberg
Eugene Robert Richee/ Moviepix/ Getty Images
Fred Morley/ Getty Images
Autres références
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L'ANGE BLEU, film de Josef von Sternberg
- Écrit par Michel MARIE
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Josef von Sternberg (1894-1969), de son vrai nom Jonas Sternberg, est un juif viennois d'origine modeste dont la famille émigre aux États-Unis dans sa petite enfance. Il débute à Hollywood en 1912 en exerçant toutes sortes de métiers : nettoyeur et vérificateur de copies de films, monteur,...
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CINÉMA (Aspects généraux) - Histoire
- Écrit par Marc CERISUELO , Jean COLLET et Claude-Jean PHILIPPE
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...d'expression maîtrisé, fluide, qui transmet la vision intime des créateurs : Griffith, Chaplin, Stroheim, Keaton, Harry Langdon, auxquels sont venus se joindre Sternberg, Vidor, Hawks, alors débutants. Jamais les gags de la comédie burlesque n'ont été aussi précis : Le Cirque (The Circus, Chaplin,... -
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...svelte, fait partie du sex appeal de la star : c'est ce qui fait de Cooper un « homme fatal » pour Amy Jolly (Marlene Dietrich) dans Morocco. Sternberg ne s'est pas contenté d'« inventer » Marlene, il a ajouté nombre de caractéristiques au personnage de Cooper lors de son passage du muet au parlant.... -
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Si Garbo était « la divine », Marlene est « l'impératrice ». Elle l'est parce qu'on ne l'imagine guère sans le costume d'apparat qui sied à la fonction dans The Scarlet Empress (L'Impératrice rouge, 1934), évidemment, ou dans Dishonored (X27, 1931), Shanghai...
