Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

L'AVARE, Molière Fiche de lecture

Article modifié le

Bibliographie

Molière, Œuvres complètes, II, G. Forestier, C. Bourqui, B. Louvat, L. Michel, A. Piéjus, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 2010 ; Molière, L’Avare, J. Morel éd., Le Livre de Poche, Paris, 1986.

Études

R. Albanese, « Argent et réification dans L'Avare », L'Esprit Créateur, vol. 21, n° 3, 1981, p. 35-50

T. Burtin, « Figures de l’avarice et de l’usure dans les grandes comédies. Le rapport à l’argent, à la richesse et à l’échange en Angleterre et en France aux XVIe et XVIIe siècles » in A.-S. Fournier-Plamondon et A.-A. Plourde éd., Argent, commerce et échange sous l’Ancien Régime, Hermann, Paris, 2016

G. Forestier, Molière, Gallimard, Paris, 2018

H. L. Harrison, Pistoles/Paroles: Money and Language in Seventeenth-Century French Comedy, Rookwood Press, Charlottesville, 1996.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

Classification

Autres références

  • MOLIÈRE (1622-1673)

    • Écrit par
    • 7 627 mots
    • 7 médias
    ...d’exploration intense sur le plan esthétique. D’une part, Molière tente diverses formules, de la comédie à portraits mondains (Le Misanthrope, 1666) au « réalisme » de L’Avare (1668). D’autre part, il met sur pied des spectacles exigeants du point de vue de la machinerie, comme, en 1665, ...