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MASANOBU KANŌ (1434-1530)

Bibliographie

Kanō ha no kaiga. Toku betsu ten. Tōkyō Kokuritsu hakubutsukan, Peintures de l'école kanō, expos. spéciale du Musée national de Tōkyō, 1979 (texte en japonais, catal. des œuvres en anglais)

« Matsushita Takaaki. Ink Painting », in Arts of Japan, no 7, John Weatherhill, New York, 1974

Museum. Tōkyō kokuritsu hakubutsukan bijutsu shi, Rev. d'histoire de l'art du Musée national de Tōkyō, no 9, sept. 1979 (texte en japonais, table des matières en anglais)

Takasu Toyoji, « Newly Designated National Treasure : Admiring Lotus Blossoms by Chou Mao-shou, Kanō Masanobu », in Museum, no 36, Tōkyō, mars 1954

Watanabe Hajime, « Kanō Masanobu », in Bijutsu kenkyū, no 141, Tōkyō, 1947

Yamaoka Yasuzō, « Kanō Masanobu-Kanō Motonobu », in Nikon Bijutsu Kaiga Zenshū, Shūeisha, Tōkyō, 1978.

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Écrit par

  • : ancien maître de recherche au CNRS, professeure honoraire à l'École du Louvre, chargée de mission au Musée national des arts asiatiques-Guimet

Classification

Autres références

  • JAPON (Arts et culture) - Les arts

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    • 56 170 mots
    • 35 médias
    ...la capitale ce nouveau langage pictural à l'art plus nerveux et plus rapide qu'adoptera Sesson (1504 env.-apr. 1589). À la fin du xve siècle, Kanō Masanobu (1434-1530), fidèle à l'école de Zhi, est le premier laïc appelé à diriger l'atelier des Ashikaga. Son fils et successeur, Motonobu...