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MÉSOPOTAMIE La religion

Bibliographie

Coll. Littératures anciennes du Proche Orient, Cerf, Paris : G. Cardascia, Lois médio-assyriennes, 1969 ; E. Sollberger & J. R. Krupper, Inscriptions royales summériennes et akkadiennes, 1971 ; A. Finet, Code de Hammurabi, 1973, 4e éd. rév. 2002 ; A. Caquot et al., Textes ougaritiques, I. Mythes et légendes, II. Textes religieux et rituels, 1974 et 1989

M.-J. Seux, Hymnes et prières aux dieux de Babylonie et d'Assyrie, 1976 ; W. L. Moran, Lettres d'El-Amarna, 1987.

Y. Bonnefoy dir., Dictionnaire des mythologies, Flammarion, Paris, 1981

J. Bottéro, La religion babylonienne, P.U.F., Paris, 1952 ; Mésopotamie : l'écriture, la raison et les dieux, Gallimard, 1987 ; Mythes et rites de Babylone, Champion, Paris, 1985

J. Bottéro & S. N. Kramer, Lorsque les dieux faisaient l'homme. Mythologie mésopotamienne, Gallimard, 1989, 2e éd., 1993

F. Joannès, Rendre la justice en Mésopotamie, Presses universitaires de Vincennes, 2000

S. N. Kramer, L'Histoire commence à Sumer, trad. franç., Arthaud, Paris, 1957, rééd. augm. Flammarion 1994 ; Le Mariage sacré, Berg International, Paris, 1983

R. Labat, Les Religions du Proche-Orient asiatique, Fayard-Denoël, Paris, 1970.

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Écrit par

  • : directeur d'études (assyriologie) à l'École pratique des hautes études (IVe section), Sorbonne
  • : assyriologue, Directeur de recherche au C.N.R.S., professeur à l'École pratique des hautes études en sciences sociales

Classification

Autres références

  • AKKAD

    • Écrit par
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    Akkad (du sémitique Akkadû, forme à laquelle le scribe préférait Agadé) désigne à la fois une « ville de royauté » du IIIe millénaire avant J.-C. et la partie nord de la Babylonie. Du nom de la cité dérive le terme akkadien, qui sert à qualifier la dynastie royale d'Akkad, la population...

  • ALEXANDRE LE GRAND (356-323 av. J.-C.)

    • Écrit par
    • 6 470 mots
    • 5 médias
    ...était nombreuse et de valeur, manquaient désormais les mercenaires grecs, décimés au cours des précédentes batailles ou perdus dans de vaines aventures. Les deux armées se rencontrèrent en Haute-Mésopotamie, près du village de Gaugamèles, non loin de la ville assyrienne d'Arbèles (Erbil). C'était une vaste...
  • AMORRITES ou AMORRHÉENS

    • Écrit par
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    Amorrites, ou Amorrhéen, est un nom de peuple que les orientalistes ont tiré du mot akkadien Amourrou, par lequel les Mésopotamiens désignaient la région située à l'ouest de leur pays et aussi ses habitants.

    Comme les Amorrites n'ont pas écrit leur langue, nous ne les connaissons que par...

  • ANTHROPOLOGIE ANARCHISTE

    • Écrit par
    • 4 847 mots
    • 3 médias
    ...processus d’apparition de l’agriculture sédentaire à partir du IXe millénaire avant notre ère, du moins dans l’exemple qu’il a choisi, celui de la Mésopotamie. Lui-même éleveur en sus de ses fonctions universitaires, il décrit le processus de formation d’une nouvelle socialisation, la domus...
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