MOI, LE SUPRÊME, Augusto Roa Bastos Fiche de lecture
Bibliographie
A. Roa Bastos, Moi, le Suprême, trad. A. Berman, Belfond, Paris, 1977 ; rééd. Seuil, 1993.
Études
M. Ezquerro, édition commentée de Yo, el Supremo, éd. Cátedra, Madrid, 1983
C. Fernandes, Augusto Roa Bastos. Écriture et oralité, L'Harmattan, Paris, 2001
A. López, La Conscience malheureuse dans le roman hispano-américain contemporain, L'Harmattan, Paris, 1994.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Ève-Marie FELL : professeur émérite de l'université de Tours
Classification
Autres références
-
ROA BASTOS AUGUSTO (1917-2005)
- Écrit par Bernard SESÉ
- 816 mots
À la croisée du mythe et de l'histoire, Yo, el Supremo (1974 ; Moi, le Suprême, 1984 et 1991 pour les versions théâtrales) mêle et transmute un matériau hétérogène : monologues, dialogues, évocations historiques, extraits du cahier privé du « père de la patrie », correspondances, coupures de...