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ŌKYO MARUYAMA (1733-1795)

Bibliographie

Iijima I., « Ōkyo no geijutsu », in Museum, no 126, sept. 1961

Kondō I., « Edo ega no futatsu no michi », ibid., no 59, févr. 1956

Suzuki S., « Ōkyo to Goshun » (Ōkyo et Goshun), in Nihon no bijutsu, no 39, Shibundō, Tōkyō, 1970

Takasu T., « Maruyama Shijo-ha no shajitsuteki na hyōgen », in Museum, no 129, déc. 1961

Yamakawa T., « Ōkyo

Goshun », in Nihon bijutsu ega zenshū, vol. XXII, Shueisha, Tōkyō, 1977

Yoshizawa C. & Yamakawa T., « Nanga to Shaseiga » (les écoles Nanga et Shaseiga), in Genshoku Nihon no bijutsu, vol. XVIII, Shogakkan, Tōkyō, 1969.

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Écrit par

  • : conservatrice des collections Japon, Chine et Corée aux Musées royaux d'art et d'histoire, Bruxelles, gestionnaire des musées d'Extrême-Orient

Classification

Autres références

  • BUNCHŌ TANI (1764-1840)

    • Écrit par
    • 859 mots
    ...les écoles et tous les grands maîtres passés et contemporains et pratiqua-t-il tous les genres : de l'école classique ( yamato-e) à Hanabusa Itchō et Maruyama Ōkyo, au Japon ; des maîtres de l'époque Song à ceux de l'époque Qing, en Chine ; de l'art du paysage à celui du portrait...
  • GOSHUN (1752-1811)

    • Écrit par
    • 738 mots
    ...n'est qu'en 1787-1788 que Goshun se rallia à l'école « réaliste ». Comme beaucoup de ses contemporains, il subit l'ascendant de la forte personnalité de Maruyama Ōkyo (1733-1795), dont le renom était alors sans égal. Ōkyo avait consacré sa vie à la recherche d'une nouvelle manière de peindre la nature...
  • JAPON (Arts et culture) - Les arts

    • Écrit par , , , , , , , , , et
    • 56 170 mots
    • 35 médias
    Le courant réaliste. Formé dans un atelier Kanō, Maruyama Ōkyo (1733-1795) eut l'occasion de voir des plaques de lanterne magique apportées de l'Occident et appliqua ces procédés nouveaux aux paysages japonais. Il connut ainsi la peinture académique des Qing, réaliste et minutieuse, au Mampuku-ji,...