JOUVE PIERRE JEAN (1887-1976)
Bibliographie
Œuvres de Pierre Jean JouveŒuvres, 2 vol., texte établi et présenté par J. Starobinski, Mercure de France, Paris, 1987 ; Paulina 1880, Paris, 1925 ; Le Monde désert, Paris, 1927 ; Hécate, Paris, 1928 ; Le Paradis perdu, Paris, 1929 ; Vagadu, Paris, 1931 ; Les Noces, Paris, 1931 ; La Scène capitale, Paris, 1935, éd. définitive 1961 ; Sueur de sang, Paris, 1935 ; Matière céleste, Paris, 1937 ; Kyrie, Paris, 1938 ; Le Don Juan de Mozart, Fribourg, 1942 ; La Vierge de Paris, Paris, 1946 ; Défense et illustration, Neuchâtel, 1946 ; Hymne, Paris, 1947 ; Diadème, Paris, 1949 ; Ode, Paris, 1950 ; Langue, Paris, 1952 ; Wozzeck ou le Nouvel Opéra, Paris, 1953 ; En miroir, Paris, 1954 ; Lyrique, Paris, 1956 ; Mélodrame, Paris, 1957 ; Inventions, Paris, 1958 ; Tombeau de Baudelaire, Paris, 1958 ; Moires, Paris, 1962 ; Ténèbre, Paris, 1966 ; Folie et génie, Fata Morgana, 1983. Tous les recueils poétiques sont repris dans l'édition définitive : Poésie, 4 vol., Mercure de France, 1964-1967. Études P. Alexandre, M. Eigeldinger & J. Starobinski, Jouve, poète et romancier, Lausanne, 1946
G. Bounoure, Pierre Jean Jouve entre abîmes et sommets, Fata Morgana, 1989
C. Blot-Labarrère dir., « Pierre Jean Jouve », in La Revue des lettres modernes, à partir de 1982
M. Broda, Jouve, Lausanne, 1981
D. Leuwers, Jouve avant Jouve, Klincksieck, 1984
R. Micha, Jouve, Seghers, Paris, 1956, rééd. 1987
S. Sanzenbach, Les Romans de P. J. Jouve, Vrin, Paris, 1972
K. Scharer, Thématique et poétique du mal dans l'œuvre de P.J. Jouve, Lettres modernes, 1984. « P. J. Jouve », no spéc. de La Nouvelle Revue française, mars 1968
« P. J. Jouve », no spéc. de L'Herne, 1972
« Jouve, colloque de Cerisy », in Sud, Marseille, oct. 1981
« Jouve », in no spéc. L'Autre, 1992.
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Écrit par
- Daniel LEUWERS : professeur de littérature contemporaine à l'université de Tours
Classification
Autres références
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LA BEAUTÉ DU MONDE (J. Starobinski) - Fiche de lecture
- Écrit par Yves LECLAIR
- 1 039 mots
- 1 média
Deux poètes, Charles Baudelaire et Pierre Jean Jouve, semblent plus chers aux interrogations du critique et font l'objet de nombreux essais qui portent, chez l’un, sur la rime, la mélancolie, l’artiste saltimbanque, le mal, l’immortalité, le temps, le critique d’art, et chez l’autre, dont il fut l’ami,...