Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

POÈME, Parménide Fiche de lecture

Bibliographie

P. Aubenque dir., Études sur Parménide, Vrin, Paris, 1987

J. Beaufret, Le Poème de Parménide, P.U.F., Paris, 1955

B. Cassin, Parménide. Sur la nature ou sur l'étant, présentation, traduction, commentaires, Seuil, Paris, 1998

M. Conche, Parménide. Le « Poème » : fragments, P.U.F., Paris, 1996

N.-L. Cordero, Les Deux Chemins de Parménide, Ousia-Vrin, Bruxelles-Paris, 1984

L. Couloubaritsis, Mythe et philosophie chez Parménide, Ousia, Bruxelles, 1986

Les Présocratiques, trad. J.-P. Dumont, D. Delattre et J.-L. Poirier, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1988.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

Classification

Autres références

  • CROYANCE

    • Écrit par
    • 11 987 mots
    ...mineur d'opiner. Là est la source de la double évaluation philosophique de la croyance (nous dirons désormais : croyance-opinion et opiner-juger). Dès le Poème de Parménide, dont il ne nous reste que des fragments, l'opinion est mise en jugement et condamnée : elle est comme le contre-pôle « du...
  • ONTOLOGIE

    • Écrit par
    • 15 658 mots
    • 1 média
    Si l'on fait ici une place à Parménide, alors qu'on sacrifie tant de grands auteurs dont on a gardé autre chose que des fragments, c'est que le Poèmede Parménide permet de ressaisir l'affirmation ontologique en deçà de la métaphysique. « Il est », dit le Poème de Parménide...
  • PARMÉNIDE (VIe-Ve s. av. J.-C.)

    • Écrit par
    • 2 238 mots
    • 1 média
    Grâce à Simplicius, on possède une suite de soixante et un vers du premier discours ontologique de l'Occident ; assez de textes par ailleurs, notamment grâce à Sextus Empiricus, pour se faire une idée de la construction du poème. Cet ensemble fut composé pour être appris et récité, par transmission...
  • RIEN (philosophie)

    • Écrit par
    • 1 252 mots

    « Non, rien de rien, non, je ne regrette rien... » : tout le monde, ou presque, connaît la chanson d'Édith Piaf. Quel sort les penseurs doivent-ils réserver au « rien » ? S'agit-il d'un signifiant vide, indicible et impensable, voire d'une puissance de mystification, qui entraîne la ...